Investing.com - Le dollar U.S. a pris l'avantage face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, sans bouleversements contre son homologue d'Europe, mais s'imposant au japonais, à la veille de la prochaine réunion de son émettrice, ainsi que de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre, dans l'expectative des chiffres de l'emploi non agricole des Etats-Unis de vendredi.
En première partie de séance européenne, il a oscillé entre légers gains et pertes minimes devant l'euro, l'EUR/USD perdant 0.2% pour tomber à 1.3048.
Les nuages s'amoncelant au-dessus de l'Italie, troisième économie du bloc, alimentaient les rumeurs d'un rabaissement imminent des taux de la BCE.
Les craintes gravitant autour des incertitudes politiques persistaient à hanter le pays, alors qu'il se disait que le président Giorgio Napolitano envisageait de nommer un gouvernement technocratique suite à l'impasse générée par les dernières élections.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.25% pour chuter à 1.508, établissant un creux journalier.
La devise de la Grande-Bretagne était sur la sellette à l'approche du conseil d'orientation de son émettrice se déroulant demain, sur fond de rumeurs de renforcement de son programme d'acquisitions d'actifs.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY prenant 0.17% pour se hisser à 93.44 dans l'optique de la prise de cap de la Banque du Japon de demain à l'aube.
L'autorité monétaire japonaise n'annoncera vraisemblablement pas de bouleversements majeurs à l'issue de celle-ci, mais le changement de direction qui sera effectué en cours de mois mènera sans doute à des assoupissements plus musclés, destinés à combattre la déflation.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grimpant de 0.32% pour se hisser à 0.9438.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs à peine dominé sa cousine canadienne, mais pas l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD arrachant 0.12% pour monter à 1.0282, l'AUD/USD grignotant 0.11% pour se retrouver à 1.0267 et le NZD/USD frémissant de 0.07% pour culminer à 0.8315.
La seconde a culminé à son meilleur niveau du jour après qu'il ait été montré que l'économie où elle a cours avait généré 0.6% de croissance au quatrième trimestre 2012, conformément aux attentes, tadis que celle du troisième était revue à la hausse depuis 0.5 vers 0.7%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.09% pour se situer à 82.19.
La zone euro comptait diffuser aujourd'hui l'évolution de son produit intérieur brut sur les trois derniers mois de l'année passée, après quoi l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendra son rapport sur la masse salariale non agricole des Etats-Unis, qui de leur côté feront connaître le volume des commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance européenne, il a oscillé entre légers gains et pertes minimes devant l'euro, l'EUR/USD perdant 0.2% pour tomber à 1.3048.
Les nuages s'amoncelant au-dessus de l'Italie, troisième économie du bloc, alimentaient les rumeurs d'un rabaissement imminent des taux de la BCE.
Les craintes gravitant autour des incertitudes politiques persistaient à hanter le pays, alors qu'il se disait que le président Giorgio Napolitano envisageait de nommer un gouvernement technocratique suite à l'impasse générée par les dernières élections.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.25% pour chuter à 1.508, établissant un creux journalier.
La devise de la Grande-Bretagne était sur la sellette à l'approche du conseil d'orientation de son émettrice se déroulant demain, sur fond de rumeurs de renforcement de son programme d'acquisitions d'actifs.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY prenant 0.17% pour se hisser à 93.44 dans l'optique de la prise de cap de la Banque du Japon de demain à l'aube.
L'autorité monétaire japonaise n'annoncera vraisemblablement pas de bouleversements majeurs à l'issue de celle-ci, mais le changement de direction qui sera effectué en cours de mois mènera sans doute à des assoupissements plus musclés, destinés à combattre la déflation.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grimpant de 0.32% pour se hisser à 0.9438.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs à peine dominé sa cousine canadienne, mais pas l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD arrachant 0.12% pour monter à 1.0282, l'AUD/USD grignotant 0.11% pour se retrouver à 1.0267 et le NZD/USD frémissant de 0.07% pour culminer à 0.8315.
La seconde a culminé à son meilleur niveau du jour après qu'il ait été montré que l'économie où elle a cours avait généré 0.6% de croissance au quatrième trimestre 2012, conformément aux attentes, tadis que celle du troisième était revue à la hausse depuis 0.5 vers 0.7%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.09% pour se situer à 82.19.
La zone euro comptait diffuser aujourd'hui l'évolution de son produit intérieur brut sur les trois derniers mois de l'année passée, après quoi l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendra son rapport sur la masse salariale non agricole des Etats-Unis, qui de leur côté feront connaître le volume des commandes passées auprès des usines.