Investing.com - Le dollar U.S. s'est rapproché d'un sommet des 10 mois écoulés face au franc suisse ce mercredi, les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro soutenant la demande pour les valeurs refuge.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9478 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 22 février, puis s'est stabilisée vers 0.9467, prenant tout de même 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9314, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.9601, son plafond du 17 février.
Le moral des investisseurs a été plombé ces derniers jours par l'idée selon laquelle le sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière n'aurait pas permis de mettre au point un plan radical de lutte contre le problème du surendettement régional.
L'Italie a pour sa part vendu le total des 3 milliards d'euros en obligations à 5 ans envisagés, à un taux moyen de 6.47%, et donc supérieur aux 6.29% réalisés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Celui des bons du trésor décennaux du pays ont par la suite bondi jusqu'à 7.17%, un niveau largement considéré comme intenable.
Le billet vert a quand à lui bénéficié du soutien des propos de la Réserve Fédérale, déclarant que les turbulences sur les marchés découlant de la crise de la dette souveraine de la zone euro menaçaient l'économie des Etats-Unis, se retenant cependant d'esquisser de nouvelles mesures destinées à stimuler la croissance.
Une étude suisse a par ailleurs montré que les attentes pour l'économie avaient reculé pour décembre vers leur pire niveau en trois ans.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet souligné que son indice de l'optimisme économique actuel avait plongé de 15.2 points pour se situer à -20, son niveau le plus faible depuis février 2010.
La devise helvétique n'a par contre presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0.03% pour se hisser à 1.2333.
Un rapport officiel avait auparavant montré que la production industrielle de la zone euro avait subi en octobre un repli inattendu, plongeant ainsi pour son second mois d'affilée.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9478 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 22 février, puis s'est stabilisée vers 0.9467, prenant tout de même 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9314, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.9601, son plafond du 17 février.
Le moral des investisseurs a été plombé ces derniers jours par l'idée selon laquelle le sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière n'aurait pas permis de mettre au point un plan radical de lutte contre le problème du surendettement régional.
L'Italie a pour sa part vendu le total des 3 milliards d'euros en obligations à 5 ans envisagés, à un taux moyen de 6.47%, et donc supérieur aux 6.29% réalisés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Celui des bons du trésor décennaux du pays ont par la suite bondi jusqu'à 7.17%, un niveau largement considéré comme intenable.
Le billet vert a quand à lui bénéficié du soutien des propos de la Réserve Fédérale, déclarant que les turbulences sur les marchés découlant de la crise de la dette souveraine de la zone euro menaçaient l'économie des Etats-Unis, se retenant cependant d'esquisser de nouvelles mesures destinées à stimuler la croissance.
Une étude suisse a par ailleurs montré que les attentes pour l'économie avaient reculé pour décembre vers leur pire niveau en trois ans.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet souligné que son indice de l'optimisme économique actuel avait plongé de 15.2 points pour se situer à -20, son niveau le plus faible depuis février 2010.
La devise helvétique n'a par contre presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0.03% pour se hisser à 1.2333.
Un rapport officiel avait auparavant montré que la production industrielle de la zone euro avait subi en octobre un repli inattendu, plongeant ainsi pour son second mois d'affilée.