Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce vendredi matin, le moral ayant repris des couleurs après que Mario Draghi ait rappelé que la Banque Centrale Européenne, dont il est le président, était prête à acquérir des bons du trésor de pays membres du bloc euro en difficulté.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.53%, le CAC 40 français de 0.49%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Le chef de la BCE a en effet estimé lors de la conférence de presse post-réunion qu'elle était prête à procéder aux Transactions Monétaires Directes quand les conditions seraient mises en place, réaffirmant en outre qu'elle n'outrepasserait pas son mandat en le faisant.
Elle a aussi sans surprise maintenu son taux de base à son plancher historique précédent de 0.75%.
Des représentants des autorités européennes ont d'autre part fait savoir que si une demande par l'Espagne d'une bouée de sauvetage devait avoir lieu, elle ne serait pas imminente.
La finance arborait un large sourire, les français BNP Paribas et Société générale en tête avec respectivement 1.45 et 1.35%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.11 et 0.56%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols BBVA et Banco Santander se contentant toutefois de 0.6 et 1.07%, et les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit de 0.24 et 0.59%.
Les constructeurs automobiles ont retrouvé de l'allant, BMW et Volkswagen bondissant de 1.1 et 1.24% en Allemagne, tandis qu'en Italie Fiat prenait 0.51%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.19%, tiré vers le haut par exploitants en forme.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi ramassé 1.68 et 0.47%, le cuivrier Kazakhmys s'envolant même de 2.19%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 1.47%, ni son rival BP avec 0.71%.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings s'élevant de 0.42% et Barclays de 0.62%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking laissaient échapper 0.13 et 0.87%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois moins optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05%, alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0.06%.
L'Allemagne comptait diffuser aujourd'hui une étude sur les commandes reçues par les usines, tandis que la zone euro dévoilera la valeur finale de sa croissance économique.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec les chiffres officiels de la masse salariale hors agriculture et la proportion des demandeurs d'emploi, sans oublier le revenu horaire moyen.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.53%, le CAC 40 français de 0.49%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Le chef de la BCE a en effet estimé lors de la conférence de presse post-réunion qu'elle était prête à procéder aux Transactions Monétaires Directes quand les conditions seraient mises en place, réaffirmant en outre qu'elle n'outrepasserait pas son mandat en le faisant.
Elle a aussi sans surprise maintenu son taux de base à son plancher historique précédent de 0.75%.
Des représentants des autorités européennes ont d'autre part fait savoir que si une demande par l'Espagne d'une bouée de sauvetage devait avoir lieu, elle ne serait pas imminente.
La finance arborait un large sourire, les français BNP Paribas et Société générale en tête avec respectivement 1.45 et 1.35%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.11 et 0.56%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols BBVA et Banco Santander se contentant toutefois de 0.6 et 1.07%, et les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit de 0.24 et 0.59%.
Les constructeurs automobiles ont retrouvé de l'allant, BMW et Volkswagen bondissant de 1.1 et 1.24% en Allemagne, tandis qu'en Italie Fiat prenait 0.51%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.19%, tiré vers le haut par exploitants en forme.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi ramassé 1.68 et 0.47%, le cuivrier Kazakhmys s'envolant même de 2.19%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 1.47%, ni son rival BP avec 0.71%.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings s'élevant de 0.42% et Barclays de 0.62%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking laissaient échapper 0.13 et 0.87%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois moins optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05%, alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0.06%.
L'Allemagne comptait diffuser aujourd'hui une étude sur les commandes reçues par les usines, tandis que la zone euro dévoilera la valeur finale de sa croissance économique.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec les chiffres officiels de la masse salariale hors agriculture et la proportion des demandeurs d'emploi, sans oublier le revenu horaire moyen.