Investing.com - Les bourses européennes étaient en grande forme ce lundi, le moral ayant été largement soutenu par l'annonce du plan de sauvetage chypriote, évitant une sortie du pays du bloc euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 1.15%, le CAC 40 français de 1.22%, et le DAX 30 allemand de 1%.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après que les ministres des finances de la région l'ayant adoptée aient octroyé 10 milliards d'euros à Chypre, qui verra la fermeture de la Laiki Bank, second plus gros établissement financier national, infligeant des pertes importantes aux dépôts supérieurs à 100 000 euros.
Tous ceux inférieurs à cette somme seront toutefois "totalement garantis".
Jeroen Dijsselbloem, à la tête des membres de l'Eurogroupe, a du coup déclaré que cette décision "mettait fin aux incertitudes" touchant l'économie de l'île.
Elle a entraîné un grand soulagement après que le programme d'aide précédent, qui impliquait des prélèvements sur les comptes bancaires du pays, ait été rejeté mardi dernier par son parlement, entraînant une semaine de confusion.
La finance était en forme, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 1.09 et 1.05%, dépassés par les français BNP Paribas et Société Générale avec 2.7 et 2.78%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2.15 et 1.64%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1.39 et 1.9%.
CSN s'envolait pour sa part de 6.35% après avoir accepté de vendre son unité boulangerie à Rhône Capital pour 1.05 milliards d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.6%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings a avancé de 0.18%, Barclays de 1.83%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçant en tête de peloton avec 1.69 et 1.95%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto suivaient le mouvement de 0.27 et 1.06%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 0.76 et 1.15%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.38%.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'intervention de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui prendra la parole lors d'une conférence à Londres.
Celle-ci a en effet annoncé la semaine passée qu'elle gardait son cap, malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 1.15%, le CAC 40 français de 1.22%, et le DAX 30 allemand de 1%.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après que les ministres des finances de la région l'ayant adoptée aient octroyé 10 milliards d'euros à Chypre, qui verra la fermeture de la Laiki Bank, second plus gros établissement financier national, infligeant des pertes importantes aux dépôts supérieurs à 100 000 euros.
Tous ceux inférieurs à cette somme seront toutefois "totalement garantis".
Jeroen Dijsselbloem, à la tête des membres de l'Eurogroupe, a du coup déclaré que cette décision "mettait fin aux incertitudes" touchant l'économie de l'île.
Elle a entraîné un grand soulagement après que le programme d'aide précédent, qui impliquait des prélèvements sur les comptes bancaires du pays, ait été rejeté mardi dernier par son parlement, entraînant une semaine de confusion.
La finance était en forme, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 1.09 et 1.05%, dépassés par les français BNP Paribas et Société Générale avec 2.7 et 2.78%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2.15 et 1.64%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1.39 et 1.9%.
CSN s'envolait pour sa part de 6.35% après avoir accepté de vendre son unité boulangerie à Rhône Capital pour 1.05 milliards d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.6%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings a avancé de 0.18%, Barclays de 1.83%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçant en tête de peloton avec 1.69 et 1.95%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto suivaient le mouvement de 0.27 et 1.06%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 0.76 et 1.15%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.38%.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'intervention de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui prendra la parole lors d'une conférence à Londres.
Celle-ci a en effet annoncé la semaine passée qu'elle gardait son cap, malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.