Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à tous ses plus gros concurrents ce jeudi, après que les autorités du Japon soient intervenues sur le marché des changes afin de juguler la flambée du yen et de soutenir une économie fortement dépendante des exportations.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.47% pour tomber à 1.4255.
Les inquiétudes concernant la contamination de la région par la crise de la dette souveraine de la zone euro ont persisté après que l'Italie ait dû emprunter hier à des taux jamais vus.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.37% pour chuter à 1.6367.
La crainte d'un ralentissement de la croissance économique mondiale s'est pour sa part trouvée exacerbée après qu'il ait été montré mercredi que l'activité du secteur tertiaire des Etats-Unis avait diminué en juillet sans crier gare, tombant à son plus bas niveau depuis février 2010.
Un autre rapport indiquait de son côté que les commandes nouvellement passées auprès des usines avaient davantage décliné lors du de juin que prévu.
Le yen et le franc suisse ont aussi nettement subi sa pression, l'USD/JPY s'envolant de 3.65% pour se hisser à 79.86 et l'USD/CHF engrangeant 0.97% pour culminer à 0.7777.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, a confirmé ce matin que le pays avait agi afin de limiter l'ascension de la monnaie nationale pour la première fois depuis mars, faisant plonger celle-ci contre toutes ses homologues les plus importantes.
Cette action a été effectuée au lendemain du rabaissement du taux des prêts de la Banque Nationale Suisse vers une fourchette plus étroite et de la mise en place d'autres mesures destinées à éviter que la devise helvétique ne s'apprécie davantage.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.55% pour monter à 0.9673, l'AUD/USD cédant 1.03% pour se retrouver à 1.0641 et le NZD/USD se laissant arracher 1.4% pour toucher le fond à 0.8513.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.85% pour se situer à 74.81.
Les Etats-Unis devraient quand à eux divulguer aujourd'hui le nombre de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.47% pour tomber à 1.4255.
Les inquiétudes concernant la contamination de la région par la crise de la dette souveraine de la zone euro ont persisté après que l'Italie ait dû emprunter hier à des taux jamais vus.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.37% pour chuter à 1.6367.
La crainte d'un ralentissement de la croissance économique mondiale s'est pour sa part trouvée exacerbée après qu'il ait été montré mercredi que l'activité du secteur tertiaire des Etats-Unis avait diminué en juillet sans crier gare, tombant à son plus bas niveau depuis février 2010.
Un autre rapport indiquait de son côté que les commandes nouvellement passées auprès des usines avaient davantage décliné lors du de juin que prévu.
Le yen et le franc suisse ont aussi nettement subi sa pression, l'USD/JPY s'envolant de 3.65% pour se hisser à 79.86 et l'USD/CHF engrangeant 0.97% pour culminer à 0.7777.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, a confirmé ce matin que le pays avait agi afin de limiter l'ascension de la monnaie nationale pour la première fois depuis mars, faisant plonger celle-ci contre toutes ses homologues les plus importantes.
Cette action a été effectuée au lendemain du rabaissement du taux des prêts de la Banque Nationale Suisse vers une fourchette plus étroite et de la mise en place d'autres mesures destinées à éviter que la devise helvétique ne s'apprécie davantage.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.55% pour monter à 0.9673, l'AUD/USD cédant 1.03% pour se retrouver à 1.0641 et le NZD/USD se laissant arracher 1.4% pour toucher le fond à 0.8513.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.85% pour se situer à 74.81.
Les Etats-Unis devraient quand à eux divulguer aujourd'hui le nombre de leurs nouvelles inscriptions au chômage.