Investing.com - L'euro a vu s'aggraver ses pertes d'hier face au dollar U.S. ce lundi, chutant à son pire niveau du mois alors que les craintes liées à la flambée des taux des emprunts italiens encourageaient la demande pour ce dernier, vu comme une valeur sûre.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3484 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 10 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.3505, perdant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3377, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.3558, son plafond du jour.
La monnaie unique a ainsi enregistré hier sa pire dégringolade contre l'étalon américain des 15 mois passés, après que les dividendes des obligations à 10 ans italiennes aient dépassé le seuil des 7%, à partir duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont demandé des aides financières internationales.
Les représentants grecs poursuivaaient quand à eux les négociations destinées à mettre en place un nouveau gouvernement d'union nationale.
Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, a encouragé les pays membres de l'Union Européenne à "s'unir ou devenir insignifiants" devant la situation de plus en plus désespérée de l'Italie et de la nation hellène.
La devise européenne a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.16% pour glisser à 0.8495.
Rome prévoyait de vendre aujourd'hui aux enchères pour 5 milliards de bons du trésor à un an, et les Etats-Unis prévoyaient de dévoiler leurs rapport officiel hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'un autre sur le solde de leur commerce extérieur.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3484 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 10 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.3505, perdant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3377, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.3558, son plafond du jour.
La monnaie unique a ainsi enregistré hier sa pire dégringolade contre l'étalon américain des 15 mois passés, après que les dividendes des obligations à 10 ans italiennes aient dépassé le seuil des 7%, à partir duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont demandé des aides financières internationales.
Les représentants grecs poursuivaaient quand à eux les négociations destinées à mettre en place un nouveau gouvernement d'union nationale.
Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, a encouragé les pays membres de l'Union Européenne à "s'unir ou devenir insignifiants" devant la situation de plus en plus désespérée de l'Italie et de la nation hellène.
La devise européenne a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.16% pour glisser à 0.8495.
Rome prévoyait de vendre aujourd'hui aux enchères pour 5 milliards de bons du trésor à un an, et les Etats-Unis prévoyaient de dévoiler leurs rapport officiel hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'un autre sur le solde de leur commerce extérieur.