Investing.com - Le dollar U.S. était à peine en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, restant proche d'un creux de quatre mois par rapport à l'euro, fragilisé par Chypre, l'impasse politique italienne et la déception sur le frond du travail allemand, qui encourageaient les valeurs refuge.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.04% pour glisser à 1.2773, aux abords de son plancher de novembre.
La circonspection restait au goût du jour sur fond de première réouverture des banques chypriotes en près de deux semaines, alors que des restrictions avaient été mises en place pour empêcher les retraits massifs, ayant été inactives depuis le 16 mars pour cette raison, lors de la période de négociations sur le plan de secours international.
En Italie, le doute concernant l'éventuelle formation d'un gouvernement de coalition stable ne cessait pour sa part d'enfler.
L'Allemagne a pour sa part déploré l'inscription de 13 000 demandeurs d'emploi en mars, alors que 4 000 de moins étaient espérés, ce qui a contrebalancé les bons chiffres des ventes au détail de février.
Il n'en était pas de même avec un yen largement revigoré, l'USD/JPY plongeant de 0.41% pour glisser à 94.06, bien que l'attente d'assouplissements musclés de la part de la Banque du Japon demeure forte.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.24% pour se hisser à 1.5164.
La devise de la Grande-Bretagne a repris du poil de la bête après que des chiffres officiels aient montré 0.3% de progression de l'activité tertiaire, la plus importante depuis août, éloignant quelque peu la menace d'une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part à peine subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0.05% pour tomber à 0.9535.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.02% pour aller vers 1.016, l'AUD/USD dérapant de 0.14% pour descendre à 1.0427 et le NZD/USD engrangeant 0.13% pour culminer à 0.8379.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient fait savoir à l'aube que le nombre des permis de construire qu'elles avaient accordés en février avait bondi de 1.9% après les 0.2% de déclin précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.09% pour se situer à 83.33.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et les chiffres révisés de leur croissance du quatrième trimestre.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.04% pour glisser à 1.2773, aux abords de son plancher de novembre.
La circonspection restait au goût du jour sur fond de première réouverture des banques chypriotes en près de deux semaines, alors que des restrictions avaient été mises en place pour empêcher les retraits massifs, ayant été inactives depuis le 16 mars pour cette raison, lors de la période de négociations sur le plan de secours international.
En Italie, le doute concernant l'éventuelle formation d'un gouvernement de coalition stable ne cessait pour sa part d'enfler.
L'Allemagne a pour sa part déploré l'inscription de 13 000 demandeurs d'emploi en mars, alors que 4 000 de moins étaient espérés, ce qui a contrebalancé les bons chiffres des ventes au détail de février.
Il n'en était pas de même avec un yen largement revigoré, l'USD/JPY plongeant de 0.41% pour glisser à 94.06, bien que l'attente d'assouplissements musclés de la part de la Banque du Japon demeure forte.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.24% pour se hisser à 1.5164.
La devise de la Grande-Bretagne a repris du poil de la bête après que des chiffres officiels aient montré 0.3% de progression de l'activité tertiaire, la plus importante depuis août, éloignant quelque peu la menace d'une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part à peine subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0.05% pour tomber à 0.9535.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.02% pour aller vers 1.016, l'AUD/USD dérapant de 0.14% pour descendre à 1.0427 et le NZD/USD engrangeant 0.13% pour culminer à 0.8379.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient fait savoir à l'aube que le nombre des permis de construire qu'elles avaient accordés en février avait bondi de 1.9% après les 0.2% de déclin précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.09% pour se situer à 83.33.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et les chiffres révisés de leur croissance du quatrième trimestre.