Investing.com - L'économie de l'Allemagne a progressé comme prévu au troisième trimestre, d'après les informations préiminaires dévoilées ce mardi.
Dans son rapport, Destatis, agence chargée des statistiques du pays, a annoncé que son produit intérieur brut avait augmenté de 0.5% ajustés saisonnièrement, conformément aux prévisions des experts.
Il avait connu une croissance de 0.3% lors du précédent, dont l'estimation préliminaire à 0.1% a dû être révisée à la hausse.
Il était également indiqué que d'une année sur l'autre, le PIB avait légèrement dépassé les attentes avec 2.5% d'amélioration, contre 3% au trimestre précédent et 2.4% envisagés.
Le principal facteur de hausse du PIB a été celle des dépenses de consommation finales des ménages.
Les transactions avec l'étranger y ont également contribué, mais les exportations de biens et services ont été suivies de près par les importation, rendant l'impact du commerce extérieur sur la croissance économique à peine mesurable pour la période considérée.
L'euro demeurait en berne face au dollar U.S. malgré la diffusion de la nouvelle, EUR/USD fléchissant de 0.27% pour glisser à 1.3697.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un recul de 0.9%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.75%, celles sur le DAX 30 allemand à 1.1% et sur le FTSE 100 britannique à 0.65%.
Dans son rapport, Destatis, agence chargée des statistiques du pays, a annoncé que son produit intérieur brut avait augmenté de 0.5% ajustés saisonnièrement, conformément aux prévisions des experts.
Il avait connu une croissance de 0.3% lors du précédent, dont l'estimation préliminaire à 0.1% a dû être révisée à la hausse.
Il était également indiqué que d'une année sur l'autre, le PIB avait légèrement dépassé les attentes avec 2.5% d'amélioration, contre 3% au trimestre précédent et 2.4% envisagés.
Le principal facteur de hausse du PIB a été celle des dépenses de consommation finales des ménages.
Les transactions avec l'étranger y ont également contribué, mais les exportations de biens et services ont été suivies de près par les importation, rendant l'impact du commerce extérieur sur la croissance économique à peine mesurable pour la période considérée.
L'euro demeurait en berne face au dollar U.S. malgré la diffusion de la nouvelle, EUR/USD fléchissant de 0.27% pour glisser à 1.3697.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un recul de 0.9%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.75%, celles sur le DAX 30 allemand à 1.1% et sur le FTSE 100 britannique à 0.65%.