Investing.com - L'euro était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, alors que les observateurs digéraient l'annonce de l'accord des représentatns de la zone euro sur le second programme de secours à la Grèce à hauteur de 130 milliards d'euros.
En fin de première partie de séance européenne, il a toutefois fléchi sous le dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.09% pour tomber à 1.3229.
Lors de leur réunion, les ministres des finances de l'Eurogroupe ont en effet donné leur blanc-seing au plan à hauteur de 130 milliards d'euros destiné à ramener la dette de la nation hellène à 120.5% de son produit intérieur brut sur huit ans, et réduisant le taux d'emprunt de la prémière bouée de sauvetage dont elle a bénéficié.
Les créanciers privés ont aussi accepté de voir les obligations qu'ils détiennent subir une dévaluation de 53.5%, contre seulement 50% avant la rencontre, ce qui devrait réduire de 107 milliards d'euros le fardeau du pays.
Les observateurs demeuraient inquiets quand à sa capacité à remplir ses clauses du contrat.
La "Troika" constituée de l'Union Européenne, de la Banque Centrale Européenne et du Fonds Monétaire International, a pour sa part déclaré dans son dernier rapport sur la viabilité de la dette grecque que "davantage d'aides" pourraient être nécessaires dans le futur.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, l'EUR/GBP prenant 0.25% pour se hisser à 0.8375.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que les finances publiques britanniques avaient connu le mois dernier leur surplus le plus important depuis janvier 2008.
Le solde des emprunts du secteur public, faisant la différence entre les recettes et les dépenses de l'état, s'est ainsi élevé à 10.7 milliards de livres sterling surnuméraires pour le mois, contre un déficit de 11.1 milliards lors du précédent.
Le yen, largement affaibli, a aussi subi sa pression, l'EUR/JPY grignotant 0.09% pour grimper à 105.53, aux abords d'un pic des trois mois écoulés.
Le franc suisse lui a mieux résisté, l'EUR/CHF grignotant 0.02% pour monter à 1.2072.
Des informations émanant des autorités avaientt indiqué ce matin que le surplus de la balance commerciale suisse avait diminué en janvier sans crier gare, passant ainsi de 2.01 à 1.55 milliards de CHF, les exportations plongeant de 3.4% au cours du mois.
Les récents planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise se sont pour leur part éloignés, l'EUR/AUD avançant de 0.75% pour s'élever à 1.2405, et l'EUR/NZD gagnant 0.5% pour se situer à 1.5844.
La Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant rappelé dans le compte-rendu de sa réunion de février sa volonté d'assouplir sa politique au cas où la demande pour les matières premières et les produits de première nécessité devait "faiblir de manière notable", tout en maintenant ses taux pour le mois.
Le document précisait: "Bien que la situation financière de l'Europe demeure fragile, la probabilité d'une aggravation semble avoir quelque peu diminué."
Il en a été de même avec le dollar canadien, l'EUR/CAD progressant de 0.22% pour culminer à 1.3185.
Les ministres des finances du bloc euro devraient encore tenir à Bruxelles des pourparlers tout au long de la journée.
En fin de première partie de séance européenne, il a toutefois fléchi sous le dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.09% pour tomber à 1.3229.
Lors de leur réunion, les ministres des finances de l'Eurogroupe ont en effet donné leur blanc-seing au plan à hauteur de 130 milliards d'euros destiné à ramener la dette de la nation hellène à 120.5% de son produit intérieur brut sur huit ans, et réduisant le taux d'emprunt de la prémière bouée de sauvetage dont elle a bénéficié.
Les créanciers privés ont aussi accepté de voir les obligations qu'ils détiennent subir une dévaluation de 53.5%, contre seulement 50% avant la rencontre, ce qui devrait réduire de 107 milliards d'euros le fardeau du pays.
Les observateurs demeuraient inquiets quand à sa capacité à remplir ses clauses du contrat.
La "Troika" constituée de l'Union Européenne, de la Banque Centrale Européenne et du Fonds Monétaire International, a pour sa part déclaré dans son dernier rapport sur la viabilité de la dette grecque que "davantage d'aides" pourraient être nécessaires dans le futur.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, l'EUR/GBP prenant 0.25% pour se hisser à 0.8375.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que les finances publiques britanniques avaient connu le mois dernier leur surplus le plus important depuis janvier 2008.
Le solde des emprunts du secteur public, faisant la différence entre les recettes et les dépenses de l'état, s'est ainsi élevé à 10.7 milliards de livres sterling surnuméraires pour le mois, contre un déficit de 11.1 milliards lors du précédent.
Le yen, largement affaibli, a aussi subi sa pression, l'EUR/JPY grignotant 0.09% pour grimper à 105.53, aux abords d'un pic des trois mois écoulés.
Le franc suisse lui a mieux résisté, l'EUR/CHF grignotant 0.02% pour monter à 1.2072.
Des informations émanant des autorités avaientt indiqué ce matin que le surplus de la balance commerciale suisse avait diminué en janvier sans crier gare, passant ainsi de 2.01 à 1.55 milliards de CHF, les exportations plongeant de 3.4% au cours du mois.
Les récents planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise se sont pour leur part éloignés, l'EUR/AUD avançant de 0.75% pour s'élever à 1.2405, et l'EUR/NZD gagnant 0.5% pour se situer à 1.5844.
La Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant rappelé dans le compte-rendu de sa réunion de février sa volonté d'assouplir sa politique au cas où la demande pour les matières premières et les produits de première nécessité devait "faiblir de manière notable", tout en maintenant ses taux pour le mois.
Le document précisait: "Bien que la situation financière de l'Europe demeure fragile, la probabilité d'une aggravation semble avoir quelque peu diminué."
Il en a été de même avec le dollar canadien, l'EUR/CAD progressant de 0.22% pour culminer à 1.3185.
Les ministres des finances du bloc euro devraient encore tenir à Bruxelles des pourparlers tout au long de la journée.