Investing.com - L'euro s'est élevé vers un pic des trois derniers jours face à la livre sterling ce mercredi, encouragé par les rumeurs selon lesquelles le Fonds Monétaire International serait en train d'étudier comment augmenter sa capacité de prêt depuis les 385 milliards d'USD actuels jusqu'à 1 billion.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8354 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 13 janvier, puis s'est stabilisée vers 0.8346, prenant 0.48%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8261, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 0.8376, son plafond du 13 janvier.
La monnaie unique a encore gagné en popularité après qu'il ait été rapporté que le FMI tenterait de trouver un accord permettant d'augmenter le volume de ses capitaux lors de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés devant se dérouler en fin de mois prochain.
Ces bruits ont fait suite aux propos de Christine Lagarde, sa présidente, avouant hier que son équipe étudiait les moyens de le faire.
Le blason de l'euro s'était auparavant trouvé terni contre sa rivale britannique après que l'agence Fitch ait déclaré en début de journée que l'Italie pourrait subir une dégradation de deux crans.
Ces précisions faisaient suite à la déclaration de la semaine passée, selon laquelle il y avait des chances "significatives" que sa notation soit rabaissée d'ici la fin janvier malgré sa notation A+ actuelle.
Un rapport émanant des autorités du du Royaume-Uni avait révélé en milieu de matinée que le taux de chômage national avait augmenté sans crier gare en décembre depuis 8.3% vers un pic des dix-sept dernières années à 8.4%.
Il était toutefois à noter que la hausse des nouveaux inscrits s'était limitée à 1 200 avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 8 000 sur la période considérée, laissant espérer que la débâcle du marché de l'emploi britannique pourrait être en train de ralentir.
La devise de la Grande-Bretagne gardait cependant le dessus contre le dollar U.S. avec un couple GBP/USD grignotant 0.23% pour se hisser à 1.5368.
Le gouvernement de la Grèce va quand à lui reprendre dans la journée les négociations avec les détenteurs de ses obligations afin d'évoquer une dévaluation volontaire de celles-ci, les pourparlers ayant été interrompus vendredi en raison de désaccords concernant l'importance des pertes devant être subies par ces derniers lors de l'échange de leurs bons du trésor.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera pour sa part dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8354 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 13 janvier, puis s'est stabilisée vers 0.8346, prenant 0.48%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8261, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 0.8376, son plafond du 13 janvier.
La monnaie unique a encore gagné en popularité après qu'il ait été rapporté que le FMI tenterait de trouver un accord permettant d'augmenter le volume de ses capitaux lors de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés devant se dérouler en fin de mois prochain.
Ces bruits ont fait suite aux propos de Christine Lagarde, sa présidente, avouant hier que son équipe étudiait les moyens de le faire.
Le blason de l'euro s'était auparavant trouvé terni contre sa rivale britannique après que l'agence Fitch ait déclaré en début de journée que l'Italie pourrait subir une dégradation de deux crans.
Ces précisions faisaient suite à la déclaration de la semaine passée, selon laquelle il y avait des chances "significatives" que sa notation soit rabaissée d'ici la fin janvier malgré sa notation A+ actuelle.
Un rapport émanant des autorités du du Royaume-Uni avait révélé en milieu de matinée que le taux de chômage national avait augmenté sans crier gare en décembre depuis 8.3% vers un pic des dix-sept dernières années à 8.4%.
Il était toutefois à noter que la hausse des nouveaux inscrits s'était limitée à 1 200 avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 8 000 sur la période considérée, laissant espérer que la débâcle du marché de l'emploi britannique pourrait être en train de ralentir.
La devise de la Grande-Bretagne gardait cependant le dessus contre le dollar U.S. avec un couple GBP/USD grignotant 0.23% pour se hisser à 1.5368.
Le gouvernement de la Grèce va quand à lui reprendre dans la journée les négociations avec les détenteurs de ses obligations afin d'évoquer une dévaluation volontaire de celles-ci, les pourparlers ayant été interrompus vendredi en raison de désaccords concernant l'importance des pertes devant être subies par ces derniers lors de l'échange de leurs bons du trésor.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera pour sa part dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.