Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note mitigée ce jeudi matin, sur fond de retour des doutes concernant une éventuelle fermeture imminente des vannes de la banque centrale des Etats-Unis.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,16%, et le Hang Seng de Hong Kong 0,3%, alors que le Nikkei 225 japonais laissait échapper 0,25%.
Sydney a atteint peu après l'ouverture son plus haut niveau depuis juin 2008, malgré un essoufflement du marché du travail.
Une étude officielle a en effet révélé à l'aube que 10.800 postes avaient été supprimés dans le pays au cours du mois passé, alors que 10.000 embauches étaient espérées.
Le taux de chômage a du coup gonflé depuis 5,7 vers 5,8% sur la même période.
News Corp. bondissait de 3,8% après que Southeastern Asset Management en ait acquis 11,9%, qui permettant ainsi de participer aux votes du conseil d'administration.
Hong Kong oscillait pour sa part entre légers gains et pertes minimes aux abords du pic de quatre mois établi la veille, avec l'espoir que la seconde économie mondiale arrive à se sortir de l'impasse.
Les résultats divulgués cette semaine mettaient en effet en relief une inflation modérée, tandis que les ventes au détail, la production des industries et le commerce extérieur dépassaient les attentes.
Ces belles performances ont du coup poussé de nombreuses banques du monde, parmi lesquelles la Bank of America Merrill Lynch, Nomura Holdings, l'UBS, Goldman Sachs et J.P. Morgan Chase, à revoir à la hausse leurs projections de croissance pour le pays.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient en première ligne, la Jiangxi Copper Company amassant 1,5%, et le poids lourd des hydrocarbures PetroChina 1,6%.
Tokyo retombait pour sa part de son piédestal de sept semaines datant de mercredi, l'ambiance se retrouvant plombée par la remontée du yen.
La paire USD/JPY est tombée jusqu'à 99,18, à comparer aux 100,60 d'hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement freinées par le retour en force de la monnaie nationale, qui érode la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Nissan et Toyota avançaient ainsi de 1,2 et 1,1%, tandis que Mitsubishi dérapait de 8% après que le quotidien Nikkei ait révélé qu'une nouvelle mise sur le marché de ses actions était envisagée.
Sharp, spécialiste de l'électronique grand public, sombrait de 6% après que le journal Yomiuri Shimbun ait rapporté que lui aussi étudiait une manoeuvre similaire, afin de lever jusqu'à 2 milliards d'USD.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt timide malgré la bonne ambiance.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,25% aussi et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,15%.
Les autorités européennes feront aujourd'hui connaître l'état de la production industrielle régionale, et Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole, après quoi les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,16%, et le Hang Seng de Hong Kong 0,3%, alors que le Nikkei 225 japonais laissait échapper 0,25%.
Sydney a atteint peu après l'ouverture son plus haut niveau depuis juin 2008, malgré un essoufflement du marché du travail.
Une étude officielle a en effet révélé à l'aube que 10.800 postes avaient été supprimés dans le pays au cours du mois passé, alors que 10.000 embauches étaient espérées.
Le taux de chômage a du coup gonflé depuis 5,7 vers 5,8% sur la même période.
News Corp. bondissait de 3,8% après que Southeastern Asset Management en ait acquis 11,9%, qui permettant ainsi de participer aux votes du conseil d'administration.
Hong Kong oscillait pour sa part entre légers gains et pertes minimes aux abords du pic de quatre mois établi la veille, avec l'espoir que la seconde économie mondiale arrive à se sortir de l'impasse.
Les résultats divulgués cette semaine mettaient en effet en relief une inflation modérée, tandis que les ventes au détail, la production des industries et le commerce extérieur dépassaient les attentes.
Ces belles performances ont du coup poussé de nombreuses banques du monde, parmi lesquelles la Bank of America Merrill Lynch, Nomura Holdings, l'UBS, Goldman Sachs et J.P. Morgan Chase, à revoir à la hausse leurs projections de croissance pour le pays.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient en première ligne, la Jiangxi Copper Company amassant 1,5%, et le poids lourd des hydrocarbures PetroChina 1,6%.
Tokyo retombait pour sa part de son piédestal de sept semaines datant de mercredi, l'ambiance se retrouvant plombée par la remontée du yen.
La paire USD/JPY est tombée jusqu'à 99,18, à comparer aux 100,60 d'hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement freinées par le retour en force de la monnaie nationale, qui érode la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Nissan et Toyota avançaient ainsi de 1,2 et 1,1%, tandis que Mitsubishi dérapait de 8% après que le quotidien Nikkei ait révélé qu'une nouvelle mise sur le marché de ses actions était envisagée.
Sharp, spécialiste de l'électronique grand public, sombrait de 6% après que le journal Yomiuri Shimbun ait rapporté que lui aussi étudiait une manoeuvre similaire, afin de lever jusqu'à 2 milliards d'USD.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt timide malgré la bonne ambiance.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,25% aussi et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,15%.
Les autorités européennes feront aujourd'hui connaître l'état de la production industrielle régionale, et Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole, après quoi les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.