Investing.com - L'euro a dû quitter un sommet quasiment bihebdomadaire face au dollar U.S. ce jeudi, subissant les résultats peu réjouissants des usines dans le bloc où il a cours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3284 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3290, perdant 0,15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3243, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3323, son plafond de près de deux semaines établi ce matin.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet signalé que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une déconvenue de 1,5% en juillet, dépassant nettement les 0,1% envisagés, portant son érosion annuelle à 2,1% au lieu des 0,1% dé&jà redoutés.
Cette contre-performance a du coup renforcé les doutes sur la relance de la région, alors que le chef de son autorité monétaire avait déclaré la semaine passée que sa politique monétaire demeurerait aussi assouplie qu'il faudrait pour l'alimenter.
La devise européenne a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour glisser à 0,8413, à l'approche des témoignages imminents des membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre.
Le yen a par contre nettement pris l'avantage, l'EUR/USD chutant de 0,54% pour déraper à 132,25.
Les observateurs guettaient désormais la prise de parole de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ainsi que le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3284 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3290, perdant 0,15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3243, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3323, son plafond de près de deux semaines établi ce matin.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet signalé que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une déconvenue de 1,5% en juillet, dépassant nettement les 0,1% envisagés, portant son érosion annuelle à 2,1% au lieu des 0,1% dé&jà redoutés.
Cette contre-performance a du coup renforcé les doutes sur la relance de la région, alors que le chef de son autorité monétaire avait déclaré la semaine passée que sa politique monétaire demeurerait aussi assouplie qu'il faudrait pour l'alimenter.
La devise européenne a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour glisser à 0,8413, à l'approche des témoignages imminents des membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre.
Le yen a par contre nettement pris l'avantage, l'EUR/USD chutant de 0,54% pour déraper à 132,25.
Les observateurs guettaient désormais la prise de parole de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ainsi que le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis.