Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mercredi après-midi, profitant de la probable installation de Janet Yellen à la tête de son émettrice, malgré l'ombre des chicaneries budgétaires à Washington.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
Les cours sont en effet remontés en raison de l'espoir que la politique monétaire demeure stabilisée dans son état de souplesse actuel, au cas où cette nomination serait avalisée par le sénat pour établir la succession de Ben Bernanke, le président actuel de la Réserve Fédérale, au terme de son mandat s'achevant le 31 janvier.
La prudence restait cependant de mise en cette seconde semaine de paralysie partielle des administrations des Etats-Unis, avec peu de raisons d'espérer une résolution du bras de fer sur le budget avant la date fatidique du 17 octobre, au-delà de laquelle un défaut de paiement de leur part serait difficilement évitable.
Olivier Blanchard, chef économiste au Fonds Monétaire International, a déclaré hier qu'en cas d'échec dans la remontée du plafond de la dette nationale, "la relance se trouverait presque certainement mise à mal".
Alcoa, premier producteur d'aluminium des Etats-Unis, bondissait de 3,65% après la clôture, à la suite de laquelle il a donné hier le coup d'envoi de la saison des proclamations de résultats.
Il a ainsi dépassé les espérances pour le trimestre, grâce à un retour des bénéfices de ses fonderies et des améliorations concernant ses fabriques de pièces détachées aéronautiques et automobiles.
Yum Brands était aussi sous les feux de l'actualité, dégringolant de 7,02% dans le même temps après avoir déploré 68% de bénéfices en moins entre début juillet et fin septembre, avec le plongeon des chiffres d'affaires de ses magasins situés en Chine, le forçant à revoir ses projections annuelles à la baisse.
Costco reculait pour sa part de 1,32% en pré-ouverture, suite à l'aveu de profits trimestriels inférieurs aux espérances, en raison d'une progression ralentie de ses rentrées.
L'agence de presse Bloomberg a également révélé que les compagnies aériennes Delta Air Lines et American Airlines, qui est une filiale de l'AMR Corp., attendaient la livraison de nouveaux appareils actuellement coincés en Allemagne, le débrayage des institutions ayant mis un frein aux livraisons mondiales dans ce secteur.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Family Dollar, dont les derniers résultats seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles en hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,40%, le CAC 40 français de 0,50%, le DAX 30 allemand de 0,20% et le FTSE 100 britannique de 0,06%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0,63%, et le Nikkei 225 japonais engrangeait 1,03%.
Les observateurs guettent aussi pour la fin de journée la publication du compte-rendu de la dernière réunion de la banque centrale des Etats-Unis, qui avait en supris certains en déclarant souhaiter attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
Les cours sont en effet remontés en raison de l'espoir que la politique monétaire demeure stabilisée dans son état de souplesse actuel, au cas où cette nomination serait avalisée par le sénat pour établir la succession de Ben Bernanke, le président actuel de la Réserve Fédérale, au terme de son mandat s'achevant le 31 janvier.
La prudence restait cependant de mise en cette seconde semaine de paralysie partielle des administrations des Etats-Unis, avec peu de raisons d'espérer une résolution du bras de fer sur le budget avant la date fatidique du 17 octobre, au-delà de laquelle un défaut de paiement de leur part serait difficilement évitable.
Olivier Blanchard, chef économiste au Fonds Monétaire International, a déclaré hier qu'en cas d'échec dans la remontée du plafond de la dette nationale, "la relance se trouverait presque certainement mise à mal".
Alcoa, premier producteur d'aluminium des Etats-Unis, bondissait de 3,65% après la clôture, à la suite de laquelle il a donné hier le coup d'envoi de la saison des proclamations de résultats.
Il a ainsi dépassé les espérances pour le trimestre, grâce à un retour des bénéfices de ses fonderies et des améliorations concernant ses fabriques de pièces détachées aéronautiques et automobiles.
Yum Brands était aussi sous les feux de l'actualité, dégringolant de 7,02% dans le même temps après avoir déploré 68% de bénéfices en moins entre début juillet et fin septembre, avec le plongeon des chiffres d'affaires de ses magasins situés en Chine, le forçant à revoir ses projections annuelles à la baisse.
Costco reculait pour sa part de 1,32% en pré-ouverture, suite à l'aveu de profits trimestriels inférieurs aux espérances, en raison d'une progression ralentie de ses rentrées.
L'agence de presse Bloomberg a également révélé que les compagnies aériennes Delta Air Lines et American Airlines, qui est une filiale de l'AMR Corp., attendaient la livraison de nouveaux appareils actuellement coincés en Allemagne, le débrayage des institutions ayant mis un frein aux livraisons mondiales dans ce secteur.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Family Dollar, dont les derniers résultats seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles en hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,40%, le CAC 40 français de 0,50%, le DAX 30 allemand de 0,20% et le FTSE 100 britannique de 0,06%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0,63%, et le Nikkei 225 japonais engrangeait 1,03%.
Les observateurs guettent aussi pour la fin de journée la publication du compte-rendu de la dernière réunion de la banque centrale des Etats-Unis, qui avait en supris certains en déclarant souhaiter attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.