Investing.com - Le dollar U.S. était en repli limité face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, à la veille des conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses d'injections de capitaux.
En première partie de séance européenne, le yen a toutefois fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,19% pour se retrouver à 99,25.
La nervosité était palpable à l'approche du conseil d'orientation de la banque centrale des Etats-Unis, leurs récentes contre-performances ayant contribué à semer le doute sur sa volonté de réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès ce mois-ci.
Le billet vert avait perdu des couleurs dans le sillage de l'abandon par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course à la succession de Ben Bernanke à sa tête.
Il semblait en effet davantagge susceptible d'être partisan d'une fermeture des vannes bien plus rapide que Janet Yellen, sa principale rivale.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,09% pour grimper à 1,3346.
Il a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,18% pour se hisser à 1,5926, lorgnant sur un sommet de huit mois dans l'expectative des chiffres de l'inflation à la consomation britannique.
Il a tout de même mieux résisté au franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,06% pour tomber à 0,9268.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine australienne, mais pas la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,01% pour descendre à 0,9315, le NZD/USD engrangeant 0,10% pour culminer à 0,8179 et l'USD/CAD régressant de 0,02% pour aller vers 1,0322.
La première s'est mise à patiner après que le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ait montré à l'aube qu'elle comptait demeurer souple, et qu'aucune action urgente n'étaiit envisagée de sa part, estiant qu'une poursuite de sa dépréciation "aiderait" l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,05% pour se situer à 81,39.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait pour sa part publier aujourd'hui son baromètre économique de l'Allemagne, tandis que les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix proposés aux particuliers.
En première partie de séance européenne, le yen a toutefois fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,19% pour se retrouver à 99,25.
La nervosité était palpable à l'approche du conseil d'orientation de la banque centrale des Etats-Unis, leurs récentes contre-performances ayant contribué à semer le doute sur sa volonté de réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès ce mois-ci.
Le billet vert avait perdu des couleurs dans le sillage de l'abandon par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course à la succession de Ben Bernanke à sa tête.
Il semblait en effet davantagge susceptible d'être partisan d'une fermeture des vannes bien plus rapide que Janet Yellen, sa principale rivale.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,09% pour grimper à 1,3346.
Il a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,18% pour se hisser à 1,5926, lorgnant sur un sommet de huit mois dans l'expectative des chiffres de l'inflation à la consomation britannique.
Il a tout de même mieux résisté au franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,06% pour tomber à 0,9268.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine australienne, mais pas la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,01% pour descendre à 0,9315, le NZD/USD engrangeant 0,10% pour culminer à 0,8179 et l'USD/CAD régressant de 0,02% pour aller vers 1,0322.
La première s'est mise à patiner après que le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ait montré à l'aube qu'elle comptait demeurer souple, et qu'aucune action urgente n'étaiit envisagée de sa part, estiant qu'une poursuite de sa dépréciation "aiderait" l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,05% pour se situer à 81,39.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait pour sa part publier aujourd'hui son baromètre économique de l'Allemagne, tandis que les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix proposés aux particuliers.