Investing.com - Les options sur le brut ont conclu en difficulté, la déception découlant des embauches des Etats-Unis étant allée à l'encontre de l'hypothèse selon laquelle leur économie reprenait sans heurts et donc que leur banque centrale fermerait les vannes sous peu.
Les acteurs du marché pétrolier surveillent généralement ce rapport de très près, car il offre la prise la plus directe avec le marché du travail américain, et donc une idée de sa voracité.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 106,85 USD le baril à la clôture des transactions, avec un recul de 0,95%.
Ils avaient auparavant culminé à 108,76 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 19 juillet.
Ils sont ensuite nettement retombés après que le département d'état au travail américain ait compté 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée, tandis que le total précédent de 195.000 était revu à la baisse jusqu'à 188.000.
Le taux de chômage a cependant fondu sans crier gare depuis 7,6 vers 7,4% dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties deusdolz population active.
Ces informations venaient accentuer le flou à propos des orientations futures de la Réserve Fédérale, celle-ci s'étant gardée mercredi de donner tout signe d'une réduction prochaine de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
La semaine aura malgré cela été le théâtre d'une remontée de 2,1%, grâce aux bons résultats américains enregistrés en début de semaine.
Leurs autorités avaient dénombré jeudi 19.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 26 juillet, pour un total hebdomadaire de 326.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
L'institut de gestion des approvisionnements avait aussi fait sacoir que son indice des directeurs des achats pour le pays avait bondi depuis 50,9 vers 55,4 en juillet, son meilleur niveau depuis avril 2011.
Le département d'état au commerce américain avait déjà signalé la veille que le produit intérieur brut avait connu une croissance de 1,7% après ajustement saisonnier entre début avril et fin juin, au lieu des 1% anticipés.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP avait auparavant constaté la création de 200.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois écoulé, dépassant ainsi les 180.000 prévus.
Tous les yeux étaient rivés sur les derniers résultats en quête d'indices sur les décisions futures des Etats-Unis.
Une nouvelle série d'études américaines portant notamment sur l'ativité du secteur tertiaire et le solde du commerce extérieur sera au centre des débats de la semaine prochaine, en quête de signaux indiquant la direction que prendra l'économie américaine.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Les observateurs guetteront par ailleurs les chiffres de la balance commerciale, de l'inflation et de la production industrielle de la Chine, en raison de l'angoisse d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont pour leur part dérapé de 0,55% vendredi pour glisser à 108,93 USD du baril.
Ils avaient précédemment culminé à 110,08 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 3 avril.
Leurs cours, établis à Londres, ont malgré cela terminé la semaine avec un frémissement de 1,67%, pour s'établir à 2,08 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les acteurs du marché pétrolier surveillent généralement ce rapport de très près, car il offre la prise la plus directe avec le marché du travail américain, et donc une idée de sa voracité.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 106,85 USD le baril à la clôture des transactions, avec un recul de 0,95%.
Ils avaient auparavant culminé à 108,76 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 19 juillet.
Ils sont ensuite nettement retombés après que le département d'état au travail américain ait compté 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée, tandis que le total précédent de 195.000 était revu à la baisse jusqu'à 188.000.
Le taux de chômage a cependant fondu sans crier gare depuis 7,6 vers 7,4% dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties deusdolz population active.
Ces informations venaient accentuer le flou à propos des orientations futures de la Réserve Fédérale, celle-ci s'étant gardée mercredi de donner tout signe d'une réduction prochaine de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
La semaine aura malgré cela été le théâtre d'une remontée de 2,1%, grâce aux bons résultats américains enregistrés en début de semaine.
Leurs autorités avaient dénombré jeudi 19.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 26 juillet, pour un total hebdomadaire de 326.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
L'institut de gestion des approvisionnements avait aussi fait sacoir que son indice des directeurs des achats pour le pays avait bondi depuis 50,9 vers 55,4 en juillet, son meilleur niveau depuis avril 2011.
Le département d'état au commerce américain avait déjà signalé la veille que le produit intérieur brut avait connu une croissance de 1,7% après ajustement saisonnier entre début avril et fin juin, au lieu des 1% anticipés.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP avait auparavant constaté la création de 200.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois écoulé, dépassant ainsi les 180.000 prévus.
Tous les yeux étaient rivés sur les derniers résultats en quête d'indices sur les décisions futures des Etats-Unis.
Une nouvelle série d'études américaines portant notamment sur l'ativité du secteur tertiaire et le solde du commerce extérieur sera au centre des débats de la semaine prochaine, en quête de signaux indiquant la direction que prendra l'économie américaine.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Les observateurs guetteront par ailleurs les chiffres de la balance commerciale, de l'inflation et de la production industrielle de la Chine, en raison de l'angoisse d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont pour leur part dérapé de 0,55% vendredi pour glisser à 108,93 USD du baril.
Ils avaient précédemment culminé à 110,08 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 3 avril.
Leurs cours, établis à Londres, ont malgré cela terminé la semaine avec un frémissement de 1,67%, pour s'établir à 2,08 USD de mieux que leurs homologues américaines.