Investing.com - La livre sterling était en baisse face au usd ce lundi, suivant la pentre tracée par la monnaie unique sur fond de crainte d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro au reste du bloc où elle a cours.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.598 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5992, perdant 0.25%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5915, son plancher du 2 novembre, et de rencontrer de la résistance à 1.6092, son plafond du premier.
Les coûts des emprunts italiens à dix ans ont établi de nouveaux sommets jamais vus depuis la mise en place de l'euro, sur fond de dissensions non dissimulées au sein de l'équipe du premier ministre Silvio Berlusconi à l'approche du scrutin parlementaire sur les finances de mardi.
George Papandreou, premier ministre de la Grèce, a quand à lui assuré dimanche qu'il abandonnerait son poste pour laisser sa place à un nouveau gouvernement multipartite, qui organiserait des élections et ratifierait les mesures d'austérité afin de s'assurer que le pays recevrait la prochaine tranche d'aides financières.
Les investisseurs restaient sur les dents après que les dirigeants de la zone euro aient renoncé à tout engagement concret concernant l'attribution de nouveaux fonds destinés à renforcer les capacités de prêt du fonds de secours régional en conclusion de la réunion de vendredi du groupe des 20 pays les plus développés à Cannes.
La livre sterling a toutefois gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0.33% pour déraper à 0.8572.
Des informations émanant de spécialistes dévoilées ce matin ont par aileurs signalé que les prix des habitations du Royaume-Uni avaient nettement plus augmenté le mois dernier que prévu, tout en diminuant toutefois sur le trimestre achevé en octobre.
L'indice Halifax des coûts dse logements a en effet progressé de 1.2% d'un mois sur l'autre, tout en perdant 1.8% par rapport à 2010, alors que les experts s'étaient attendus à le voir prendre 0.1% mensuels et laisser échapper 2.3% annuels.
Il était aussi précisé qu'ils avaient reculé de 0.3% par rapport aux trois mois précédents.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.598 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5992, perdant 0.25%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5915, son plancher du 2 novembre, et de rencontrer de la résistance à 1.6092, son plafond du premier.
Les coûts des emprunts italiens à dix ans ont établi de nouveaux sommets jamais vus depuis la mise en place de l'euro, sur fond de dissensions non dissimulées au sein de l'équipe du premier ministre Silvio Berlusconi à l'approche du scrutin parlementaire sur les finances de mardi.
George Papandreou, premier ministre de la Grèce, a quand à lui assuré dimanche qu'il abandonnerait son poste pour laisser sa place à un nouveau gouvernement multipartite, qui organiserait des élections et ratifierait les mesures d'austérité afin de s'assurer que le pays recevrait la prochaine tranche d'aides financières.
Les investisseurs restaient sur les dents après que les dirigeants de la zone euro aient renoncé à tout engagement concret concernant l'attribution de nouveaux fonds destinés à renforcer les capacités de prêt du fonds de secours régional en conclusion de la réunion de vendredi du groupe des 20 pays les plus développés à Cannes.
La livre sterling a toutefois gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0.33% pour déraper à 0.8572.
Des informations émanant de spécialistes dévoilées ce matin ont par aileurs signalé que les prix des habitations du Royaume-Uni avaient nettement plus augmenté le mois dernier que prévu, tout en diminuant toutefois sur le trimestre achevé en octobre.
L'indice Halifax des coûts dse logements a en effet progressé de 1.2% d'un mois sur l'autre, tout en perdant 1.8% par rapport à 2010, alors que les experts s'étaient attendus à le voir prendre 0.1% mensuels et laisser échapper 2.3% annuels.
Il était aussi précisé qu'ils avaient reculé de 0.3% par rapport aux trois mois précédents.