Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les incertitudes concernant les résultats du sommet cruciale de l'Union Européenne de demain pesant sur le goût pour le risque.
En première partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.05% pour grimper à 1.394.
Les investisseurs demeuraient hésitants concernant la rencontre européenne de mercredi, dont ils espèrent qu'elle apportera une solution complète à la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Une étude avait auparavant montré que les prévisions pour le moral des consommateurs allemands de novembre présentaient une amélioration inattendue, mais celles pour l'indice de l'économie générale reculaient pour le troisième mois consécutif, en raison des angoisses liées au problème du surendettement de la région.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, le GBP/USD trébuchant de 0.08% pour reculer à 1.5982.
Un rapport officiel avait auparavant révélé que le déficit du commerce extérieur du Royaume-Uni avait diminué sans crier gare pour se situer à 2 milliards de GBP pour le dernier trimestre, contre 4.1 milliards pour le précédent, et ce alors que les experts craignaient de le voir augenter jusqu'à 9.9 milliards.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.07% pour se hisser à 76.16 et l'USD/CHF glissant de 0.34% pour tomber à 0.8777.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a de nouveau averti qu'en cas de spéculation poussant la devise nippone trop haut, il serait prêt à intervenir de manière décisive contre une ascension excessive.
L'indice de consommation suisse UBS a pour sa part connu une légère amélioration en septembre, après avoir nettement plongé entre juin et août, l'intervention de la Banque Nationale Suisse destinée à affaiblir sa devise ayant apaisé les craintes concernant le futur de l'économie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.15% pour aller vers 1.0019, l'AUD/USD se laissant saper 0.03% pour descendre à 1.0471 et le NZD/USD sombrant de 0.66% pour se retrouver à 0.8019.
Il avait auparavant été signalé que l'inflation des prix à la consommation de la Nouvelle-Zélande avait davantage ralenti au troisième trimestre que prévu, passant de 1 à 0.4%, au lieu des 0.7% prévus par les experts.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.12% pour se situer à 76.25.
Les spécialistes de Etats-Unis ont quand à eux prévu de révéler leurs chiffres concernant l'inflation des coûts des logements et leur rapport sur la confiance des consommateurs.
En première partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.05% pour grimper à 1.394.
Les investisseurs demeuraient hésitants concernant la rencontre européenne de mercredi, dont ils espèrent qu'elle apportera une solution complète à la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Une étude avait auparavant montré que les prévisions pour le moral des consommateurs allemands de novembre présentaient une amélioration inattendue, mais celles pour l'indice de l'économie générale reculaient pour le troisième mois consécutif, en raison des angoisses liées au problème du surendettement de la région.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, le GBP/USD trébuchant de 0.08% pour reculer à 1.5982.
Un rapport officiel avait auparavant révélé que le déficit du commerce extérieur du Royaume-Uni avait diminué sans crier gare pour se situer à 2 milliards de GBP pour le dernier trimestre, contre 4.1 milliards pour le précédent, et ce alors que les experts craignaient de le voir augenter jusqu'à 9.9 milliards.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.07% pour se hisser à 76.16 et l'USD/CHF glissant de 0.34% pour tomber à 0.8777.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a de nouveau averti qu'en cas de spéculation poussant la devise nippone trop haut, il serait prêt à intervenir de manière décisive contre une ascension excessive.
L'indice de consommation suisse UBS a pour sa part connu une légère amélioration en septembre, après avoir nettement plongé entre juin et août, l'intervention de la Banque Nationale Suisse destinée à affaiblir sa devise ayant apaisé les craintes concernant le futur de l'économie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.15% pour aller vers 1.0019, l'AUD/USD se laissant saper 0.03% pour descendre à 1.0471 et le NZD/USD sombrant de 0.66% pour se retrouver à 0.8019.
Il avait auparavant été signalé que l'inflation des prix à la consommation de la Nouvelle-Zélande avait davantage ralenti au troisième trimestre que prévu, passant de 1 à 0.4%, au lieu des 0.7% prévus par les experts.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.12% pour se situer à 76.25.
Les spécialistes de Etats-Unis ont quand à eux prévu de révéler leurs chiffres concernant l'inflation des coûts des logements et leur rapport sur la confiance des consommateurs.