Investing.com - Le dollar U.S. était nettement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les mesures de lutte contre les problèmes financiers de la Grèce et et éviter la contagion de la région diminuant son attrait.
En première partie de séance européenne, il a fortement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.75% pour grimper à 1.4012.
Les dirigeants européens ont convaincu les banques de subir 50% de réduction volontaire de leurs dettes grecques, allégeant quelque peu le fardeau accablant le pays pour passer de 160 à 120% de son produit intérieur brut d'ici 2020, une valeur plus supportable.
La puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, le fonds de secours régional, serait quand à elle augmentée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.1% pour se hisser à 1.5992.
La monnaie britannique restait toutefois fragilisée après que la Banque d'Angleterre ait mis en place un second plan d'assouplissement monétaire en début de mois en raison des craintes dûes à l'affaiblissement des conditions économiques nationales.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.49% pour se retrouver à 75.8, dangereusement près de son plancher historique, et l'USD/CHF glissant de 0.7% pour tomber à 0.8749.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a une fois de plus rappelé que le gouvernement agirait de manière résolue pour contrer tout mouvement excessif de sa monnaie.
La Banque du Japon a pour sa part annoncé de nouveaux assouplissements monétaires afin d'aider à l'affaiblir, en faisant gonfler son programme d'achats d'actifs de 5 à 55 billions de JPY, tout en maintenant son taux de prêt immédiat à 0.1%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.89% pour aller vers 0.9953, l'AUD/USD raflant 2.04% pour s'envoler à 1.0611 et le NZD/USD engrangeant 1.54% pour culminer à 0.8135.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait gardé dans la mmatinée son taux d'intérêt à 2.5%, estimant que la relance nécessitait davantage d'encouragement afin de revenir en force dans le droit chemin avant la fin de l'année.
Une étude officielle avait également montré que le déficit de la balance commercial du pays avait augmenté de 697 à 751 millions de NZD sans crier gare en septembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.78% pour se situer à 75.84.
Les Etats-Unis publieront de leur côté dans l'après-midi leurs informations préliminaires concernant leur produit intérieur brut du troisième trimestre, ainsi que l'indice des prix y étant lié, mesure la plus large de son inflation, alors que leurs autorités révèleront le nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, il a fortement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.75% pour grimper à 1.4012.
Les dirigeants européens ont convaincu les banques de subir 50% de réduction volontaire de leurs dettes grecques, allégeant quelque peu le fardeau accablant le pays pour passer de 160 à 120% de son produit intérieur brut d'ici 2020, une valeur plus supportable.
La puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, le fonds de secours régional, serait quand à elle augmentée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.1% pour se hisser à 1.5992.
La monnaie britannique restait toutefois fragilisée après que la Banque d'Angleterre ait mis en place un second plan d'assouplissement monétaire en début de mois en raison des craintes dûes à l'affaiblissement des conditions économiques nationales.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.49% pour se retrouver à 75.8, dangereusement près de son plancher historique, et l'USD/CHF glissant de 0.7% pour tomber à 0.8749.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a une fois de plus rappelé que le gouvernement agirait de manière résolue pour contrer tout mouvement excessif de sa monnaie.
La Banque du Japon a pour sa part annoncé de nouveaux assouplissements monétaires afin d'aider à l'affaiblir, en faisant gonfler son programme d'achats d'actifs de 5 à 55 billions de JPY, tout en maintenant son taux de prêt immédiat à 0.1%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.89% pour aller vers 0.9953, l'AUD/USD raflant 2.04% pour s'envoler à 1.0611 et le NZD/USD engrangeant 1.54% pour culminer à 0.8135.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait gardé dans la mmatinée son taux d'intérêt à 2.5%, estimant que la relance nécessitait davantage d'encouragement afin de revenir en force dans le droit chemin avant la fin de l'année.
Une étude officielle avait également montré que le déficit de la balance commercial du pays avait augmenté de 697 à 751 millions de NZD sans crier gare en septembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.78% pour se situer à 75.84.
Les Etats-Unis publieront de leur côté dans l'après-midi leurs informations préliminaires concernant leur produit intérieur brut du troisième trimestre, ainsi que l'indice des prix y étant lié, mesure la plus large de son inflation, alors que leurs autorités révèleront le nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.