Investing.com - La livre sterling se maintenait aux alentours d'un pic de deux mois et demi face au dollar U.S. ce mardi, l'attention se concentrant désormais sur la réunion que la Réserve Fédérale tiendra demain.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5507 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5501, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5417, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5545, son plafond le plus élevé depuis le 15 février établi hier.
Le billet vert demeurait friable après qu'il ait été officiellement montré la semaine passée que le produit intérieur brut des Etats-Unis avait connu une expansion décevante, remettant en question la vigueur de la relance nationale.
L'information a du coup étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale dans l'optique de son conseil d'orientation de demain, les récents compte-rendus ayant souligné que certains de ses décideurs se posaient des questions sur leur efficacité.
La devise de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Elle a par ailleurs pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,11% pour glisser à 8,8441.
Les autorités du Royaume-Uni comptaient révéler aujourd'hui le volume des emprunts publics et le nombre des prêts hypothécaires accordés.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le baromètre de la confiance de leurs consommateurs et une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier fourniront leurs chiffres de l'inflation des prix des habitations.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5507 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5501, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5417, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5545, son plafond le plus élevé depuis le 15 février établi hier.
Le billet vert demeurait friable après qu'il ait été officiellement montré la semaine passée que le produit intérieur brut des Etats-Unis avait connu une expansion décevante, remettant en question la vigueur de la relance nationale.
L'information a du coup étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale dans l'optique de son conseil d'orientation de demain, les récents compte-rendus ayant souligné que certains de ses décideurs se posaient des questions sur leur efficacité.
La devise de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Elle a par ailleurs pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,11% pour glisser à 8,8441.
Les autorités du Royaume-Uni comptaient révéler aujourd'hui le volume des emprunts publics et le nombre des prêts hypothécaires accordés.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le baromètre de la confiance de leurs consommateurs et une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier fourniront leurs chiffres de l'inflation des prix des habitations.