Ayant largement anticipé le défaut grec de cette nuit, les marchés européens ne pâtissent pas de cette nouvelle et ils entament donc le second semestre du bon pied, sur fond d'indices PMI manufacturiers de bonne facture dans la zone euro.
Paris et Milan s'adjugent 2,4%, Francfort 2,2%, Amsterdam 2,1%, Madrid 2%, Lisbonne et Bruxelles 1,8%, Londres 1,5% et Zurich 1,1%. A New York mardi, le Dow Jones a avancé de plus de 0,1% et le Nasdaq, de près de 0,6%.
'Après l'envolée de la volatilité implicite de lundi, un certain calme semble s'être installé sur les marchés mondiaux et le monde entier semble attendre - peut-être à tort - un résultat favorable à l'issue du prochain référendum grec', explique-t-on chez IG.
Une telle hypothèse ne paraît pas exclue, alors qu'un analyste de Trustnet Direct met en avant un sondage ne donnant la victoire du 'non' qu'à 53%. 'Les marchés actions progressent en dépit des tensions, mais ceci pourrait n'être que de courte durée', tempère l'analyste.
Les dernières données PMI mettent en évidence une nouvelle accélération de la croissance manufacturière de l'Eurozone en juin. A 52,5 contre 52,2 en mai, l'indice de Markit progresse pour le deuxième mois consécutif, affichant son plus haut niveau depuis avril 2014.
L'Espagne et l'Italie enregistrent de nouveau de fortes expansions, tandis que des tendances positives sont également observées en Allemagne et en France, ce dernier pays affichant un changement de tendance, alors que la Grèce s'enfonce dans la contraction.
'Le taux d'expansion global du secteur manufacturier de la zone euro n'a cependant rien de remarquable', juge néanmoins Chris Williamson, chief economist à Markit, qui pointe pourtant un 'contexte monétaire actuel particulièrement favorable'.
Au Royaume-Uni, la croissance du secteur manufacturier ralentit en juin, d'après la dernière enquête de Markit de du CIPS auprès des directeurs d'achats : leur indice du secteur passe en effet de 51,9 en mai (révisé de 52 en estimation initiale) à 51,4.
Cet après-midi aux Etats-Unis, les opérateurs seront attentifs à l'enquête ADP sur l'emploi dans le secteur privé, puis à l'indice ISM du secteur manufacturier, aux dépenses de construction et aux stocks hebdomadaires de pétrole.
Côté valeurs, Adidas (XETRA:ADSGN) progresse de 1,7% à Francfort, aidé par UBS qui relève sa recommandation de 'neutre' à 'achat' et remonte son objectif de cours de 63 à 82 euros, soulignant les perspectives de l'équipementier sportif en Europe de l'Ouest.
Solvay (BRU:SOLB) (+0,8%) et Umicore (+1,5%) gagnent du terrain à Bruxelles, alors que les deux groupes ont cédé leur coentreprise SolviCore, spécialisée dans la technologie d'assemblage membrane-électrode, au groupe chimique japonais Toray.
A Paris, les valeurs liées à l'automobile sont toutes bien orientées après l'annonce d'un bond de 15% en données brutes du marché français au mois de juin : Peugeot prend 4,1%, Renault (PARIS:RENA) 3,7%, Valeo (PARIS:VLOF) 3,1% et Michelin (PARIS:MICP) 2,2%.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Paris et Milan s'adjugent 2,4%, Francfort 2,2%, Amsterdam 2,1%, Madrid 2%, Lisbonne et Bruxelles 1,8%, Londres 1,5% et Zurich 1,1%. A New York mardi, le Dow Jones a avancé de plus de 0,1% et le Nasdaq, de près de 0,6%.
'Après l'envolée de la volatilité implicite de lundi, un certain calme semble s'être installé sur les marchés mondiaux et le monde entier semble attendre - peut-être à tort - un résultat favorable à l'issue du prochain référendum grec', explique-t-on chez IG.
Une telle hypothèse ne paraît pas exclue, alors qu'un analyste de Trustnet Direct met en avant un sondage ne donnant la victoire du 'non' qu'à 53%. 'Les marchés actions progressent en dépit des tensions, mais ceci pourrait n'être que de courte durée', tempère l'analyste.
Les dernières données PMI mettent en évidence une nouvelle accélération de la croissance manufacturière de l'Eurozone en juin. A 52,5 contre 52,2 en mai, l'indice de Markit progresse pour le deuxième mois consécutif, affichant son plus haut niveau depuis avril 2014.
L'Espagne et l'Italie enregistrent de nouveau de fortes expansions, tandis que des tendances positives sont également observées en Allemagne et en France, ce dernier pays affichant un changement de tendance, alors que la Grèce s'enfonce dans la contraction.
'Le taux d'expansion global du secteur manufacturier de la zone euro n'a cependant rien de remarquable', juge néanmoins Chris Williamson, chief economist à Markit, qui pointe pourtant un 'contexte monétaire actuel particulièrement favorable'.
Au Royaume-Uni, la croissance du secteur manufacturier ralentit en juin, d'après la dernière enquête de Markit de du CIPS auprès des directeurs d'achats : leur indice du secteur passe en effet de 51,9 en mai (révisé de 52 en estimation initiale) à 51,4.
Cet après-midi aux Etats-Unis, les opérateurs seront attentifs à l'enquête ADP sur l'emploi dans le secteur privé, puis à l'indice ISM du secteur manufacturier, aux dépenses de construction et aux stocks hebdomadaires de pétrole.
Côté valeurs, Adidas (XETRA:ADSGN) progresse de 1,7% à Francfort, aidé par UBS qui relève sa recommandation de 'neutre' à 'achat' et remonte son objectif de cours de 63 à 82 euros, soulignant les perspectives de l'équipementier sportif en Europe de l'Ouest.
Solvay (BRU:SOLB) (+0,8%) et Umicore (+1,5%) gagnent du terrain à Bruxelles, alors que les deux groupes ont cédé leur coentreprise SolviCore, spécialisée dans la technologie d'assemblage membrane-électrode, au groupe chimique japonais Toray.
A Paris, les valeurs liées à l'automobile sont toutes bien orientées après l'annonce d'un bond de 15% en données brutes du marché français au mois de juin : Peugeot prend 4,1%, Renault (PARIS:RENA) 3,7%, Valeo (PARIS:VLOF) 3,1% et Michelin (PARIS:MICP) 2,2%.
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