Alstom (PA:ALSO) a fait savoir ce jeudi via un communiqué diffusé après Bourse que la période d'obligation d'auto-déclaration de 3 ans que le groupe avait accepté dans le cadre de l'accord du 22 décembre 2014 vient de s'achever.
Alstom s'était alors entendu avec le Département américain de la Justice (DoJ), avec lequel la société avait signé un accord clôturant l'enquête sur des violations présumées de la loi américaine sur la corruption dans les transactions internationales.
Elle se dit aujourd'hui 'déterminée à atteindre le plus haut degré d'intégrité dans ses activités' et assure qu'elle 'continuera de développer son programme de conformité'.
Et Alstom d'ajouter : 'nous avons mis en place un solide programme de conformité garantissant le strict respect des lois et réglementations en vigueur dans tous les pays dans lesquels le groupe est implanté, la prévention de la corruption étant la priorité absolue. Nous avons établi des directives claires qui régissent les relations avec les pouvoirs publics et les clients et traitent d'autres zones de risque de corruption.'
Fin 2014, le groupe avait accepté de payer une amende de 772 millions de dollars à la suite de laquelle il avait précisé que les manquements visés dans l'accord avec le DoJ provenaient pour l'essentiel de l'utilisation de consultants externes rémunérés en fonction du succès des projets sur lesquels ils étaient retenus. Il a depuis lors mis fin au recours de consultants externes.
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Alstom s'était alors entendu avec le Département américain de la Justice (DoJ), avec lequel la société avait signé un accord clôturant l'enquête sur des violations présumées de la loi américaine sur la corruption dans les transactions internationales.
Elle se dit aujourd'hui 'déterminée à atteindre le plus haut degré d'intégrité dans ses activités' et assure qu'elle 'continuera de développer son programme de conformité'.
Et Alstom d'ajouter : 'nous avons mis en place un solide programme de conformité garantissant le strict respect des lois et réglementations en vigueur dans tous les pays dans lesquels le groupe est implanté, la prévention de la corruption étant la priorité absolue. Nous avons établi des directives claires qui régissent les relations avec les pouvoirs publics et les clients et traitent d'autres zones de risque de corruption.'
Fin 2014, le groupe avait accepté de payer une amende de 772 millions de dollars à la suite de laquelle il avait précisé que les manquements visés dans l'accord avec le DoJ provenaient pour l'essentiel de l'utilisation de consultants externes rémunérés en fonction du succès des projets sur lesquels ils étaient retenus. Il a depuis lors mis fin au recours de consultants externes.
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