Investing.com - Les bourses européennes ont fini par céder au pessimisme ce jeudi après-midi, dans le sillafe d'un l'état des lieux peu reluisant de l'activité des usines de la région, dans l'expectative d'une solution diplomatique à la crise syrienne.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,01%, le CAC 40 français trébuchant de 0,32%, et le DAX 30 allemand de 0,11%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet signalé que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une déconvenue de 1,5% en juillet, dépassant nettement les 0,1% envisagés, portant son érosion annuelle à 2,1% au lieu des 0,1% dé&jà redoutés.
Cette contre-performance a du coup renforcé les doutes sur la relance de la région, alors que le chef de son autorité monétaire avait déclaré la semaine passée que sa politique monétaire demeurerait aussi assouplie qu'il faudrait pour l'alimenter.
La situation syrienne était aussi sur toutes les lèvres, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, s'apprêtait à rencontrer sous peu son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
La finance en a perdu le sourire, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,13%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,28 et 1,09%.
La périphérie était moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,44 et 0,13%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit sombraient de 0,92 et 1,69%.
Vivendi raflait pour sa part 2,34% alors qu'il se disait que l'idée d'une dissociation de ses branches télécommunication et médias faisait son chemin.
A Londres, le FTSE 100 se repliit de 0,07%, bien que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré que l'économie commençait à se remettre, grâce à son programme de soutien.
La City suivait quand à elle le chemin majoritairement tracé sur le continent, Barclays se rétractant de 0,02%, HSBC Holdings de 0,08%, la Royal Bank of Scotland de 0,25% et Lloyds Banking de 0,68%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas mieux loties, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Randgold Resources fondant de 0,56 et 1,66%, tandis que Vedanta Resources faisait encore pire avec 1,93%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le traitement pulmonaire Anoro, mis au point par GlaxoSmithKline et Theravance, a reçu l'approbation du comité d'évaluation américain, qui devrait ouvrir la voie à un feu vert en décembre, ce qui couronnerait l'année ayant comporté le plus d'autorisations américaine.
Le premier a du coup pris 0,65%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,12%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 laissaient espérer un frémissement de 0,01%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,01%, le CAC 40 français trébuchant de 0,32%, et le DAX 30 allemand de 0,11%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet signalé que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une déconvenue de 1,5% en juillet, dépassant nettement les 0,1% envisagés, portant son érosion annuelle à 2,1% au lieu des 0,1% dé&jà redoutés.
Cette contre-performance a du coup renforcé les doutes sur la relance de la région, alors que le chef de son autorité monétaire avait déclaré la semaine passée que sa politique monétaire demeurerait aussi assouplie qu'il faudrait pour l'alimenter.
La situation syrienne était aussi sur toutes les lèvres, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, s'apprêtait à rencontrer sous peu son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
La finance en a perdu le sourire, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,13%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,28 et 1,09%.
La périphérie était moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,44 et 0,13%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit sombraient de 0,92 et 1,69%.
Vivendi raflait pour sa part 2,34% alors qu'il se disait que l'idée d'une dissociation de ses branches télécommunication et médias faisait son chemin.
A Londres, le FTSE 100 se repliit de 0,07%, bien que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré que l'économie commençait à se remettre, grâce à son programme de soutien.
La City suivait quand à elle le chemin majoritairement tracé sur le continent, Barclays se rétractant de 0,02%, HSBC Holdings de 0,08%, la Royal Bank of Scotland de 0,25% et Lloyds Banking de 0,68%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas mieux loties, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Randgold Resources fondant de 0,56 et 1,66%, tandis que Vedanta Resources faisait encore pire avec 1,93%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le traitement pulmonaire Anoro, mis au point par GlaxoSmithKline et Theravance, a reçu l'approbation du comité d'évaluation américain, qui devrait ouvrir la voie à un feu vert en décembre, ce qui couronnerait l'année ayant comporté le plus d'autorisations américaine.
Le premier a du coup pris 0,65%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,12%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 laissaient espérer un frémissement de 0,01%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.