Investing.com - Le dollar U.S. était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, le goût pour les risques ayant fait son retour après la bonne surprise de l'emploi U.S. de vendredi et le rebond de l'euro, s'extirpant de son creux des trois dernières semaines.
En première partie de séance européenne, il a en effet fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.57% pour grimper à 1.4399.
L'euro est resté soutenu par l'hypothèse selon laquelle la Banque Centrale Européenne remonterait de nouveau ses taux d'intérêt en cours d'année.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.02% pour se hisser à 1.637.
Une étude avait auparavant souligné que les prixdes logements de Grande-Bretagne avaient baissé en avril sans crier gare.
Il a d'autre part imposé sa pression au yen mais pas au franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.15% pour se retrouver à 80.75 et l'USD/CHF glissant de 0.31% pour tomber à 0.8763.
Le rapport détaillé de la réunion sur la politique monétaire de la banque centrale japonaise d'avril a en effet montré que les décideurs estiment que l'économie nationale est encore tirée vers le bas par les conséquences dûes au tremblement de terre et au tsunami subséquent du 11 mars.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.24% pour aller vers 0.964, l'AUD/USD raflant 0.61% pour monter à 1.0766 et le NZD/USD engrangeant 0.24% pour culminer à 0.7924.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.48%.
Une étude officielle avait pour sa part fait savoir vendredi l'ajout de 244 000 postes à la masse salariale non agricole américaine, soit nettement plus que les 185 000 prévus, l'emploi du secteur privé enregistrant sa meilleure performance en cinq ans.
En première partie de séance européenne, il a en effet fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.57% pour grimper à 1.4399.
L'euro est resté soutenu par l'hypothèse selon laquelle la Banque Centrale Européenne remonterait de nouveau ses taux d'intérêt en cours d'année.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.02% pour se hisser à 1.637.
Une étude avait auparavant souligné que les prixdes logements de Grande-Bretagne avaient baissé en avril sans crier gare.
Il a d'autre part imposé sa pression au yen mais pas au franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.15% pour se retrouver à 80.75 et l'USD/CHF glissant de 0.31% pour tomber à 0.8763.
Le rapport détaillé de la réunion sur la politique monétaire de la banque centrale japonaise d'avril a en effet montré que les décideurs estiment que l'économie nationale est encore tirée vers le bas par les conséquences dûes au tremblement de terre et au tsunami subséquent du 11 mars.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.24% pour aller vers 0.964, l'AUD/USD raflant 0.61% pour monter à 1.0766 et le NZD/USD engrangeant 0.24% pour culminer à 0.7924.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.48%.
Une étude officielle avait pour sa part fait savoir vendredi l'ajout de 244 000 postes à la masse salariale non agricole américaine, soit nettement plus que les 185 000 prévus, l'emploi du secteur privé enregistrant sa meilleure performance en cinq ans.