Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, alors que les inquiétudes concernant la lutte contre la crise de la dette de la zone euro poussaient les investisseurs à bouder les investissements risqués.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.46% pour tomber à 1.368.
La monnaie unique s'est trouvée affectée par Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, déclarant hier que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de "solution définitive" au problème du surendettement régional.
Dans son rapport, le centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part indiqué dans la matinée que son indice du moral économique allemand était tombé à -48.3 pour le mois, son pire niveau depuis novembre 2008, contre -43.3 lors du précédent.
Les experts ne s'étaient pourtant pas attendus à le voir régresser au-dessous de -45 pour la période considérée.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.14% pour chuter à 1.5725.
Dans son rapport, le bureau britannique des statistiques a en effet montré que son taux d'augmentation annuel des prix de vente au détail était de 5.2% pour le mois dernier, égalant ainsi son record de septembre 2008, et alimentant l'angoisse d'une période prolongée de forte inflation et de faible croissance au Royaume-Uni.
Le yen lui a toutefois fait subir sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY reculant de 0.2% pour descendre à 76.67 et l'USD/CHF grignotant 0.32% pour culminer à 0.902.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.14% pour monter à 1.0251, l'AUD/USD cédant 0.16% pour se retrouver à 1.0142 et le NZD/USD se laissant arracher 0.42% pour toucher le fond à 0.7882.
Le compte-rendu de la dernière réunion d'orientation de la politique monétaire de la Réserve Bancaire d'Australie avait signalé en début de matinée la possibilité d'une baisse des taux dans un futur proche.
Le document précisait que les décideurs estimmaient: "Une amélioration des perspectives inflationnaires pourrait, en cas de confirmation par d'autres informations, augmenter les possibilités de soutien de la politique monétaire à la demande en cas de besoin."
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.21% pour se situer à 77.69.
Les Etats-Unis ont quand à eux prévu de dévoiler dans l'après-midi un rapport gouvernemental sur l'inflation des prix à la production, puis Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale du pays, prononcera un discours.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.46% pour tomber à 1.368.
La monnaie unique s'est trouvée affectée par Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, déclarant hier que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de "solution définitive" au problème du surendettement régional.
Dans son rapport, le centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part indiqué dans la matinée que son indice du moral économique allemand était tombé à -48.3 pour le mois, son pire niveau depuis novembre 2008, contre -43.3 lors du précédent.
Les experts ne s'étaient pourtant pas attendus à le voir régresser au-dessous de -45 pour la période considérée.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.14% pour chuter à 1.5725.
Dans son rapport, le bureau britannique des statistiques a en effet montré que son taux d'augmentation annuel des prix de vente au détail était de 5.2% pour le mois dernier, égalant ainsi son record de septembre 2008, et alimentant l'angoisse d'une période prolongée de forte inflation et de faible croissance au Royaume-Uni.
Le yen lui a toutefois fait subir sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY reculant de 0.2% pour descendre à 76.67 et l'USD/CHF grignotant 0.32% pour culminer à 0.902.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.14% pour monter à 1.0251, l'AUD/USD cédant 0.16% pour se retrouver à 1.0142 et le NZD/USD se laissant arracher 0.42% pour toucher le fond à 0.7882.
Le compte-rendu de la dernière réunion d'orientation de la politique monétaire de la Réserve Bancaire d'Australie avait signalé en début de matinée la possibilité d'une baisse des taux dans un futur proche.
Le document précisait que les décideurs estimmaient: "Une amélioration des perspectives inflationnaires pourrait, en cas de confirmation par d'autres informations, augmenter les possibilités de soutien de la politique monétaire à la demande en cas de besoin."
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.21% pour se situer à 77.69.
Les Etats-Unis ont quand à eux prévu de dévoiler dans l'après-midi un rapport gouvernemental sur l'inflation des prix à la production, puis Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale du pays, prononcera un discours.