Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce jeudi matin, malgré une bonne surprise provenant du marché de l'emploi espagnol, la nervosité étant palpable suite à une cascade de résultats décevants, dans l'expectative de ceux concernant le moral des entreprises de l'Allemagne.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,45%, le CAC 40 français de 0,25%, et le DAX 30 allemand de 0,66%.
Une étude officielle a en effet signalé à l'aube que Madrid avait constaté une érosion du taux de chômage depuis 27,2 vers 26,3% pour le second trimestre, alors qu'une stagnation était envisagée.
La journée d'hier s'était placée sous le signe de l'offensive, après que l'indice composite de l'activité régionale établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté pour ce mois-ci à son meilleur niveau en 18 mois.
Cette bonne nouvelle laissait du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,45%, tanis que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient 0,31 et 0,07%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander arrachant 0,02% et l'italien Unicredit 0,25%, leurs compatriotes respectifs BBVA et Intesa Sanpaolo trébuchant par contre de 0,16 et 0,36%.
L'actualité était aussi le fait du chimiste BASF, dégringolant de 3,94% dans le sillage de bénéfices inférieurs aux projections, et de l'aveu selon lequel il lui sera difficile de remplir ses objectifs.
Il n'était pas le seul en difficulté, le manufacturier pneumatique géant Michelin dérapant de 4,16% déplorant pur le premier semestre un glissement de 13% de ses profits, la demande pâtissant du recul du marché automobile de la région.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, se repliait pour sa part de 0,35%, tiré vers le bas par des exploitants en berne, l'attention concentrée sur la publication imminente des évaluations préliminaires de la croissance britannique.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 1,51 et 1,01%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas en reste avec 3,12 et 2,99%.
La City suivait quand à elle son propre chemin, HSBC Holdings grignotant 0,12% et Lloyds Banking 0,13%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en pointe avec 0,65 et 1,38%.
ARM Holdings, qui met notamment au point les microprocesseurs des iPhone et iPads d'Apple, plongeait toutefois de 5,08%, compensant l'avancée ayant été antraînée hier par un chiffre d'affaires supérieur aux attentes entre début avril et fin juin.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait quand à lui fournir aujourd'hui son indice de l'ambiance dans les affaires allemandes, et les Etats-Unis ne seront pas en reste avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec le volume de leurs commandes de biens durables.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,45%, le CAC 40 français de 0,25%, et le DAX 30 allemand de 0,66%.
Une étude officielle a en effet signalé à l'aube que Madrid avait constaté une érosion du taux de chômage depuis 27,2 vers 26,3% pour le second trimestre, alors qu'une stagnation était envisagée.
La journée d'hier s'était placée sous le signe de l'offensive, après que l'indice composite de l'activité régionale établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté pour ce mois-ci à son meilleur niveau en 18 mois.
Cette bonne nouvelle laissait du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,45%, tanis que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient 0,31 et 0,07%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander arrachant 0,02% et l'italien Unicredit 0,25%, leurs compatriotes respectifs BBVA et Intesa Sanpaolo trébuchant par contre de 0,16 et 0,36%.
L'actualité était aussi le fait du chimiste BASF, dégringolant de 3,94% dans le sillage de bénéfices inférieurs aux projections, et de l'aveu selon lequel il lui sera difficile de remplir ses objectifs.
Il n'était pas le seul en difficulté, le manufacturier pneumatique géant Michelin dérapant de 4,16% déplorant pur le premier semestre un glissement de 13% de ses profits, la demande pâtissant du recul du marché automobile de la région.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, se repliait pour sa part de 0,35%, tiré vers le bas par des exploitants en berne, l'attention concentrée sur la publication imminente des évaluations préliminaires de la croissance britannique.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 1,51 et 1,01%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas en reste avec 3,12 et 2,99%.
La City suivait quand à elle son propre chemin, HSBC Holdings grignotant 0,12% et Lloyds Banking 0,13%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en pointe avec 0,65 et 1,38%.
ARM Holdings, qui met notamment au point les microprocesseurs des iPhone et iPads d'Apple, plongeait toutefois de 5,08%, compensant l'avancée ayant été antraînée hier par un chiffre d'affaires supérieur aux attentes entre début avril et fin juin.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait quand à lui fournir aujourd'hui son indice de l'ambiance dans les affaires allemandes, et les Etats-Unis ne seront pas en reste avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec le volume de leurs commandes de biens durables.