Investing.com - Les bourses européennes étaient à la baisse ce lundi, tirées vers le bas par la finance, sur fond de craintes concernant la dette nationale irlandaise, tandis que les indices des options sur les valeurs américaines pointaient vers une ouverture de Wall Street à la hausse.
En première partie de séance, l'EURO STOXX 50 perdait 0.29%, le CAC 40 français 0.32% et le DAX allemand 0.14%.
Les valeurs financières ont plombé les marchés, l'inquiétude causée par la dette souveraine des membres périphériques de la zone euro, et notamment l'Irlande, persistant encore.
Le Lloyds Banking Group, un prêteur britannique, à dérapé de 0.78%, et son rival Barclays de 0.69%, les banques du pays étant exposées aux risques posés par les problèmes de l'Eire.
L'espagnol Banco Santander a par ailleurs glissé de 0.42% et le Crédit Agricole, son collègue français, de 0.82%.
La compagnie d'ingénierie mécanique allemande MAN a par contre bondi de 6.53% alors que se diffusait la rumeur selon laquelle elle "étudiait" la possibilité d'une fusion avec le fabricant de véhicules automobiles suédois Scania, qui a perdu 0.32% dans le même temps.
A Londres, le FTSE 100, lourd de ses matières premières, a cédé 0.38%, avec les miniers en lanternes rouges suite à la baisse des cours des métaux. Le premier d'entre eux, BHP Billiton, laissant échapper 0.96%, son rival Rio Tinto 1.47% et Xstrata, quatrième producteur de cuivre au monde, 0.85%.
Le futur des marchés américains s'annonçait plutôt bien, en attendant les résultats de Lowe's, second revendeur d'articles de décoration, et de Nordstorm, chaîne de supermarchés haut de gamme.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.28%.
Les Etats-Unis devraient faire connaître leurs résultats concernant les ventes au détail et l'activité manufacturière en cours de journée.
En première partie de séance, l'EURO STOXX 50 perdait 0.29%, le CAC 40 français 0.32% et le DAX allemand 0.14%.
Les valeurs financières ont plombé les marchés, l'inquiétude causée par la dette souveraine des membres périphériques de la zone euro, et notamment l'Irlande, persistant encore.
Le Lloyds Banking Group, un prêteur britannique, à dérapé de 0.78%, et son rival Barclays de 0.69%, les banques du pays étant exposées aux risques posés par les problèmes de l'Eire.
L'espagnol Banco Santander a par ailleurs glissé de 0.42% et le Crédit Agricole, son collègue français, de 0.82%.
La compagnie d'ingénierie mécanique allemande MAN a par contre bondi de 6.53% alors que se diffusait la rumeur selon laquelle elle "étudiait" la possibilité d'une fusion avec le fabricant de véhicules automobiles suédois Scania, qui a perdu 0.32% dans le même temps.
A Londres, le FTSE 100, lourd de ses matières premières, a cédé 0.38%, avec les miniers en lanternes rouges suite à la baisse des cours des métaux. Le premier d'entre eux, BHP Billiton, laissant échapper 0.96%, son rival Rio Tinto 1.47% et Xstrata, quatrième producteur de cuivre au monde, 0.85%.
Le futur des marchés américains s'annonçait plutôt bien, en attendant les résultats de Lowe's, second revendeur d'articles de décoration, et de Nordstorm, chaîne de supermarchés haut de gamme.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.28%.
Les Etats-Unis devraient faire connaître leurs résultats concernant les ventes au détail et l'activité manufacturière en cours de journée.