Investing.com - Les bourses européennes ont subi des pertes significatives ce mardi, plombées par la finance inquiète de la dette souveraine irlandaise, les indices des options sur les valeurs américaines pointant également vers une ouverture de Wall Street à la baisse.
En première partie de sénce européenne, l'EURO STOXX 50 a perdu 0.98%, le CAC 40 français 1.2% et le DAX allemand 0.45%.
Le secteur financier a été handicapé par les craintes ravivées par le retour des problèmes de dette nationale des membres périphériques de la zone euro, notamment l'Eire.
Le prêteur britannique Lloyds Banking Group a dévissé de 2.57%, son rival Barclays de 1.29% et la Royal Bank of Scotland de 1.25%, les banques de Grande-Bretagne se trouvant particulièrement exposées aux risques courus par l'Irlande.
Parmi les autres acteurs de la profession, le Crédit Agricole, seconde banque européenne, a plongé de 1.91, et Banco Santander, premier pourvoyeur de prêts d'Espagne, de 1.57%.
Arcelor Mittal, leader mondial de la sidérurgie, s'est effondré de 3.67% après que le fournisseur de services financiers Citigroup ait conseillé de ne plus acheter de ses actions, mais d'attendre.
A Londres, le FTSE 100, lourd de ses matières premières, s'est écroulé de 1.29%, entraîné vers le fond par les miniers affectés par la baisse des prix des métaux. Le premier d'entre eux, BHP Billiton, coulant de 2.51%, son rival Rio Tinto de 2.96% et Xstrata, quatrième cuivrier mondial, de 3.18%.
Le futur des marchés américains s'annonçait terne, en attendant l'annonce des résultats de Home Depot, numéro 1 américain du bricolage, et de Wal-Mart, mastodonte mondial de la revente au détail.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.57%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.58% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.75%.
Les Etats-Unis devraient dévoiler des résultats officiels concernant l'inflation des prix à la production, le volume de la production industrielle et le taux d'utilisation des capacités de production en cours de journée.
En première partie de sénce européenne, l'EURO STOXX 50 a perdu 0.98%, le CAC 40 français 1.2% et le DAX allemand 0.45%.
Le secteur financier a été handicapé par les craintes ravivées par le retour des problèmes de dette nationale des membres périphériques de la zone euro, notamment l'Eire.
Le prêteur britannique Lloyds Banking Group a dévissé de 2.57%, son rival Barclays de 1.29% et la Royal Bank of Scotland de 1.25%, les banques de Grande-Bretagne se trouvant particulièrement exposées aux risques courus par l'Irlande.
Parmi les autres acteurs de la profession, le Crédit Agricole, seconde banque européenne, a plongé de 1.91, et Banco Santander, premier pourvoyeur de prêts d'Espagne, de 1.57%.
Arcelor Mittal, leader mondial de la sidérurgie, s'est effondré de 3.67% après que le fournisseur de services financiers Citigroup ait conseillé de ne plus acheter de ses actions, mais d'attendre.
A Londres, le FTSE 100, lourd de ses matières premières, s'est écroulé de 1.29%, entraîné vers le fond par les miniers affectés par la baisse des prix des métaux. Le premier d'entre eux, BHP Billiton, coulant de 2.51%, son rival Rio Tinto de 2.96% et Xstrata, quatrième cuivrier mondial, de 3.18%.
Le futur des marchés américains s'annonçait terne, en attendant l'annonce des résultats de Home Depot, numéro 1 américain du bricolage, et de Wal-Mart, mastodonte mondial de la revente au détail.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.57%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.58% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.75%.
Les Etats-Unis devraient dévoiler des résultats officiels concernant l'inflation des prix à la production, le volume de la production industrielle et le taux d'utilisation des capacités de production en cours de journée.