Global Bioenergies a annoncé ce mercredi soir avoir pour la première fois obtenu de l'isobutène fermentaire en utilisant exclusivement du xylose comme ressource, suivant des performances proches de celles obtenues à partir de glucose de blé et du saccharose de betterave.
Le métabolisme central de la souche de production utilisée a été remanié en utilisant une approche innovante de biologie de synthèse, a résumé le groupe spécialisé dans l'élaboration de biocarburants.
'La valorisation des déchets agricoles et forestiers est une industrie naissante qui représente pour Global Bioenergies une opportunité importante. Lorsqu'elles seront disponibles en grandes quantités, ces ressources bon marché permettront de réduire encore les coûts de production du bio-isobutène et de faciliter la diffusion de la technologie dans un contexte de volatilité des prix dans la pétrochimie', a décrypté Marc Delcourt, PDG du groupe.
Le procédé isobutène a d'abord été développé par Global Bioenergies en utilisant du glucose issu de céréales telles que le blé ou le maïs. Début 2015, la société a annoncé que le procédé pouvait fonctionner avec des sucres issus de déchets agricoles et forestiers, environnés de nombreuses impuretés.
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Le métabolisme central de la souche de production utilisée a été remanié en utilisant une approche innovante de biologie de synthèse, a résumé le groupe spécialisé dans l'élaboration de biocarburants.
'La valorisation des déchets agricoles et forestiers est une industrie naissante qui représente pour Global Bioenergies une opportunité importante. Lorsqu'elles seront disponibles en grandes quantités, ces ressources bon marché permettront de réduire encore les coûts de production du bio-isobutène et de faciliter la diffusion de la technologie dans un contexte de volatilité des prix dans la pétrochimie', a décrypté Marc Delcourt, PDG du groupe.
Le procédé isobutène a d'abord été développé par Global Bioenergies en utilisant du glucose issu de céréales telles que le blé ou le maïs. Début 2015, la société a annoncé que le procédé pouvait fonctionner avec des sucres issus de déchets agricoles et forestiers, environnés de nombreuses impuretés.
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