DBV Technologies (PA:DBV) a accru ses pertes au premier semestre en raison d'une flambée de ses dépenses de recherche et développement due au financement de plusieurs études cliniques.
La 'biotech' spécialisée dans les allergies alimentaires accuse une perte nette de 49,4 millions d'euros sur les six premiers mois de l'année, à comparer avec une perte nette de 14,5 millions d'euros un an plus tôt.
Il est vrai que ses dépenses de R&D ont grimpé à 32,9 millions d'euros contre 12,5 millions d'euros au premier semestre 2015, pour des produits opérationnels qui n'ont augmenté que de 3,2 à 4,7 millions d'euros.
La société rappelle avoir notamment dû financer son étude de phase III pour le Viaskin Peanut, dont le recrutement des patients s'est achevé à la fin du premier semestre.
A la fin juin, sa trésorerie et ses équivalents de trésorerie atteignaient 288,7 millions d'euros, contre 104,5 millions d'euros un an plus tôt.
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La 'biotech' spécialisée dans les allergies alimentaires accuse une perte nette de 49,4 millions d'euros sur les six premiers mois de l'année, à comparer avec une perte nette de 14,5 millions d'euros un an plus tôt.
Il est vrai que ses dépenses de R&D ont grimpé à 32,9 millions d'euros contre 12,5 millions d'euros au premier semestre 2015, pour des produits opérationnels qui n'ont augmenté que de 3,2 à 4,7 millions d'euros.
La société rappelle avoir notamment dû financer son étude de phase III pour le Viaskin Peanut, dont le recrutement des patients s'est achevé à la fin du premier semestre.
A la fin juin, sa trésorerie et ses équivalents de trésorerie atteignaient 288,7 millions d'euros, contre 104,5 millions d'euros un an plus tôt.
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