Ce midi en Europe, le baril de Brent de mer du Nord livrable en septembre gagnait 0,3% à 51,1 dollars, le WTI américain de même échéance prenant 0,2% à 48,9 dollars.
En effet, les statistiques pétrolières hebdomadaires des Etats-Unis plaidaient hier pour la hausse : les stocks commerciaux de brut ont reculé de 7,2 millions de barils, contre - 2,6 millions attendus, quand ceux d'essence et de distillats connaissaient aussi des reculs plus marqués qu'anticipé. Une tendance à mettre sur le compte de l'activité plus soutenue des raffineries.
De plus, si elle reste très bien orientée depuis le début de l'année, la production pétrolière américaine est restée 'sage' la semaine passée, en s'inscrivant à 9,410 millions de barils/jour, contre 9,429 millions de barils/jour huit jours plus tôt.
EG
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En effet, les statistiques pétrolières hebdomadaires des Etats-Unis plaidaient hier pour la hausse : les stocks commerciaux de brut ont reculé de 7,2 millions de barils, contre - 2,6 millions attendus, quand ceux d'essence et de distillats connaissaient aussi des reculs plus marqués qu'anticipé. Une tendance à mettre sur le compte de l'activité plus soutenue des raffineries.
De plus, si elle reste très bien orientée depuis le début de l'année, la production pétrolière américaine est restée 'sage' la semaine passée, en s'inscrivant à 9,410 millions de barils/jour, contre 9,429 millions de barils/jour huit jours plus tôt.
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