Investing.com - Les places d'Asie étaient plutôt en forme ce mardi matin, les signes d'avancées dans la gestion de la catastrophe budgétaire menaçant les Etats-Unis encourageant la désirabilité des valeurs risquées.
Le Japon poursuivait d'autre part sur sa lancée d'hier après que la victoire du parti libéral démocrate lors du scrutin de dimanche ait alimenté l'attente de mesures plus agressives de la part de la Banque du Japon.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.2%, l'ASX/200 australien prenant 0.5% et le Nikkei 225 japonais 1%.
Tokyo se situait ainsi au plus haut niveau depuis fin mars, les grands noms de l'exportation profitant de l'affaiblissement du yen, qui se situait au plus bas des 20 derniers mois face au dollar U.S.
Shinzo Abe, chef du PLD, a récement appelé la banque centrale nippone à procéder à des injections de liquidités illimitées de manière à atteindre les 2% d'inflation visés et donner un coup de fouet à une économie fortement touchée par la récession.
Les fournisseurs d'électronique grand publi Sharp et Canon ont respectivement engrangé 8.6 et 3.4%, suivis des constructeurs automobiles Honda et Nissan avec 1.8 et 1.6%.
Tokyo Electric Power Company, opérateur tristement réputé de la centrale de Fukushima Daiichi, a raflé 17.3%, poursuivant sur sa lancée de lundi, les nouveaux dirigeants étant clairement pro-nucléaire.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 14.5% au cours des quatre semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, l'affaiblissement actuel de la monnaie de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Les observateurs guettent désormais la prise de cap que l'autorité monétaire nationale effectuera jeudi, dans l'attente d'accommodements supplémentaires.
Hong Kong se trouvait quand à elle sur la défensive, les opérateurs encaissant leurs plus-values suite au rebond l'ayant menée la semaine dernière à un pic de 17 mois.
L'AIA Group, géant des assurances, a ainsi perdu 3.15% après que l'American Insurance Group en ait revendu ses dernières parts.
Sydney profitait de son côté d'un bond au plus haut des 17 mois écoulés, encouragée par la forme des extracteurs de minerai de fer.
Fortescue Metals Group a ainsi empoché 2.9%, Atlas Iron 5.2% et Mount Gibson Iron 7.4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt positif, grâce aux signes d'avancées dans la résolution de la crise de la zone euro, tandis que l'attention se reportait sur les pourparlers budgétaires américains.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.4%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.4% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0.3%.
Le gouvernement américain compte de son côté fournir cet après-midi l'état du compte courant du pays.
Le Japon poursuivait d'autre part sur sa lancée d'hier après que la victoire du parti libéral démocrate lors du scrutin de dimanche ait alimenté l'attente de mesures plus agressives de la part de la Banque du Japon.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.2%, l'ASX/200 australien prenant 0.5% et le Nikkei 225 japonais 1%.
Tokyo se situait ainsi au plus haut niveau depuis fin mars, les grands noms de l'exportation profitant de l'affaiblissement du yen, qui se situait au plus bas des 20 derniers mois face au dollar U.S.
Shinzo Abe, chef du PLD, a récement appelé la banque centrale nippone à procéder à des injections de liquidités illimitées de manière à atteindre les 2% d'inflation visés et donner un coup de fouet à une économie fortement touchée par la récession.
Les fournisseurs d'électronique grand publi Sharp et Canon ont respectivement engrangé 8.6 et 3.4%, suivis des constructeurs automobiles Honda et Nissan avec 1.8 et 1.6%.
Tokyo Electric Power Company, opérateur tristement réputé de la centrale de Fukushima Daiichi, a raflé 17.3%, poursuivant sur sa lancée de lundi, les nouveaux dirigeants étant clairement pro-nucléaire.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 14.5% au cours des quatre semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, l'affaiblissement actuel de la monnaie de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Les observateurs guettent désormais la prise de cap que l'autorité monétaire nationale effectuera jeudi, dans l'attente d'accommodements supplémentaires.
Hong Kong se trouvait quand à elle sur la défensive, les opérateurs encaissant leurs plus-values suite au rebond l'ayant menée la semaine dernière à un pic de 17 mois.
L'AIA Group, géant des assurances, a ainsi perdu 3.15% après que l'American Insurance Group en ait revendu ses dernières parts.
Sydney profitait de son côté d'un bond au plus haut des 17 mois écoulés, encouragée par la forme des extracteurs de minerai de fer.
Fortescue Metals Group a ainsi empoché 2.9%, Atlas Iron 5.2% et Mount Gibson Iron 7.4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt positif, grâce aux signes d'avancées dans la résolution de la crise de la zone euro, tandis que l'attention se reportait sur les pourparlers budgétaires américains.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.4%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.4% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0.3%.
Le gouvernement américain compte de son côté fournir cet après-midi l'état du compte courant du pays.