Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé en hausse de 0,97% lundi, soutenue par les espoirs de demande d'aide financière de la part de l'Espagne, ainsi que par des statistiques positives en provenance de Chine.
Ce week-end, le gouvernement espagnol, qui étudie encore les conditions d'un plan de sauvetage, a indiqué qu'il ne prendrait sa décision qu'une fois qu'il en saura plus sur les conditions et l'étendue de l'aide.
En Chine, l'excédent du commerce extérieur est ressorti à 27,7 milliards de dollars en septembre, dépassant ainsi les attentes des analystes grâce à une hausse de 9,9% des exportations sur un an.
Par ailleurs, la hausse des prix à la consommation a elle ralenti à 1,9% sur un an le mois dernier, contre 2% en septembre, tandis que les prix à la production affichent un recul de 3,6% sur un an.
Aux Etats-Unis, les ventes au détail ont augmenté de 1,1% le mois dernier, alors que le marché tablait sur une hausse de 0,8%. Hors automobile, elles ont également progressé de 1,1%, soit leur meilleure performance depuis janvier, contre une hausse attendue de 0,6%.
L'activité manufacturière dans la région de New York s'est contractée pour le troisième mois consécutif en octobre, l'indice Empire State de l'antenne locale de la Fed ressortant à -6,16 points, contre -10,41 en septembre.
Du côté des valeurs, Vivendi restait en forte hausse et engrangeait 2,65% à la fermeture du marché, alors que sa filiale SFR est en discussions avec le câblo-opérateur Numericable en vue d'un éventuel rapprochement qui donnerait naissance à un géant de l'Internet à très haut débit, selon le Journal du Dimanche et Le Figaro.
Egalement dans le vert, Total s'octroyait 1,15% en fin de séance, soutenu par l'annonce du groupe selon laquelle sa marge de raffinage européenne s'était établie à 51 dollars la tonne au troisième trimestre, contre 38,2 dollars au deuxième et 20,9 au premier.
Dans le secteur automobile, Renault a terminé la journée sur un rebond de 4,60%, alors que le constructeur français et Nissan souhaitent doubler à 4 milliards d'euros d'ici à 2016 les nouvelles synergies dégagées grâce à leur alliance, selon Reuters. De son côté, Peugeot reculait de 0,55%.
Les valeurs financières restaient elles aussi en forte hausse en fin de séance, Crédit Agricole toujours en tête avec une progression de 1,84%, tandis que Société Générale et BNP Paribas s'appréciaient de 1,54% et de 1,23% respectivement.
Par ailleurs, Technip avançait de 0,73%, alors que le groupe français et Offshore Oil Engineering ont remporté un contrat d'environ 200 millions d'euros auprès de China National Offshore Oil Corporation pour le projet de développement gazier en eaux profondes du champ Panyu, en mer de Chine.
A l'inverse, Alcatel-Lucent abandonnait 4,68% en fin de séance, dans le sillage de son concurrent suédois Ericsson, suivant l'avertissement du chinois ZTE sur ses résultats du troisième trimestre.
Alcatel prévoit également de supprimer 1.000 emplois en Inde, soit 9% de ses effectifs dans le pays, selon l'Economic Times.
Enfin, STMicroelectronics reculait de 1,50% à la clôture du CAC 40, encore plombé par les rumeurs, pourtant démenties par le groupe, de scission qui pourrait conduire à la vente de son pôle puces pour téléphones mobiles.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grimpait de 0,62%, le DAX avançait de 0,39% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,19%.
Ce week-end, le gouvernement espagnol, qui étudie encore les conditions d'un plan de sauvetage, a indiqué qu'il ne prendrait sa décision qu'une fois qu'il en saura plus sur les conditions et l'étendue de l'aide.
En Chine, l'excédent du commerce extérieur est ressorti à 27,7 milliards de dollars en septembre, dépassant ainsi les attentes des analystes grâce à une hausse de 9,9% des exportations sur un an.
Par ailleurs, la hausse des prix à la consommation a elle ralenti à 1,9% sur un an le mois dernier, contre 2% en septembre, tandis que les prix à la production affichent un recul de 3,6% sur un an.
Aux Etats-Unis, les ventes au détail ont augmenté de 1,1% le mois dernier, alors que le marché tablait sur une hausse de 0,8%. Hors automobile, elles ont également progressé de 1,1%, soit leur meilleure performance depuis janvier, contre une hausse attendue de 0,6%.
L'activité manufacturière dans la région de New York s'est contractée pour le troisième mois consécutif en octobre, l'indice Empire State de l'antenne locale de la Fed ressortant à -6,16 points, contre -10,41 en septembre.
Du côté des valeurs, Vivendi restait en forte hausse et engrangeait 2,65% à la fermeture du marché, alors que sa filiale SFR est en discussions avec le câblo-opérateur Numericable en vue d'un éventuel rapprochement qui donnerait naissance à un géant de l'Internet à très haut débit, selon le Journal du Dimanche et Le Figaro.
Egalement dans le vert, Total s'octroyait 1,15% en fin de séance, soutenu par l'annonce du groupe selon laquelle sa marge de raffinage européenne s'était établie à 51 dollars la tonne au troisième trimestre, contre 38,2 dollars au deuxième et 20,9 au premier.
Dans le secteur automobile, Renault a terminé la journée sur un rebond de 4,60%, alors que le constructeur français et Nissan souhaitent doubler à 4 milliards d'euros d'ici à 2016 les nouvelles synergies dégagées grâce à leur alliance, selon Reuters. De son côté, Peugeot reculait de 0,55%.
Les valeurs financières restaient elles aussi en forte hausse en fin de séance, Crédit Agricole toujours en tête avec une progression de 1,84%, tandis que Société Générale et BNP Paribas s'appréciaient de 1,54% et de 1,23% respectivement.
Par ailleurs, Technip avançait de 0,73%, alors que le groupe français et Offshore Oil Engineering ont remporté un contrat d'environ 200 millions d'euros auprès de China National Offshore Oil Corporation pour le projet de développement gazier en eaux profondes du champ Panyu, en mer de Chine.
A l'inverse, Alcatel-Lucent abandonnait 4,68% en fin de séance, dans le sillage de son concurrent suédois Ericsson, suivant l'avertissement du chinois ZTE sur ses résultats du troisième trimestre.
Alcatel prévoit également de supprimer 1.000 emplois en Inde, soit 9% de ses effectifs dans le pays, selon l'Economic Times.
Enfin, STMicroelectronics reculait de 1,50% à la clôture du CAC 40, encore plombé par les rumeurs, pourtant démenties par le groupe, de scission qui pourrait conduire à la vente de son pôle puces pour téléphones mobiles.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grimpait de 0,62%, le DAX avançait de 0,39% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,19%.