Les marchés avaient jusqu’ici peu réagi aux événements au Moyen-Orient, même si certains segments avaient tout de même bénéficié d’une légère prime de risque, comme le marché pétrolier. En partie, ce sentiment de calme semblait se renforcer par les appels à la retenue lancés aux autorités israéliennes devant leur potentielle entrée dans Gaza.