En prévision d'une éventuelle grève de l'International Longshoremen's Association, le Département du Travail des États-Unis a pris contact avec la United States Maritime Alliance (USMX).
La grève, qui pourrait débuter le 1er octobre, menace de perturber les opérations dans les principaux ports de la côte Est et du Golfe, notamment le port crucial de New York et du New Jersey, qui traite quotidiennement 15.000 à 16.000 équivalents vingt pieds (EVP).
Les ports concernés, s'étendant du Maine au Texas, sont responsables du traitement d'environ la moitié des importations du pays. L'engagement du Département du Travail indique que le gouvernement fédéral est prêt à intervenir pour favoriser un accord entre les parties en conflit.
L'administration Biden est déjà intervenue dans des négociations salariales, notamment l'été dernier lors des conflits du travail dans les ports californiens.
Le président Joe Biden avait dépêché la secrétaire au Travail par intérim, Julie Su, pour obtenir un contrat crucial entre les employeurs des ports maritimes de la côte Ouest et les travailleurs syndiqués. Le résultat de la négociation fut une augmentation de salaire de 32%, établissant une norme attendue pour les discussions actuelles sur la côte Est et du Golfe.
L'USMX, qui représente les employeurs de l'industrie portuaire de la côte Est et du Golfe, s'est montrée disposée à travailler avec le Federal Mediation & Conciliation Service pour les négociations contractuelles, à condition que les deux parties consentent à la médiation.
Dans l'état actuel des négociations, l'alliance, qui négocie les contrats de travail pour ses membres, a signalé des difficultés à organiser une réunion avec l'ILA pour poursuivre les discussions sur un nouveau contrat-cadre. L'ILA n'a pas encore répondu aux demandes de commentaires sur la situation.
Reuters a contribué à cet article.
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