Le FTSE 100, l'indice boursier le plus important du Royaume-Uni, a clôturé en baisse vendredi, affecté principalement par des baisses dans les secteurs de l'équipement de la personne et de l'automobile. L'indice a enregistré une baisse de 0,7 %, poursuivant sa tendance à la baisse pour la sixième journée consécutive. Sur la semaine, le FTSE 100 a enregistré une perte de 2,5 %, ce qui constitue sa plus forte baisse hebdomadaire depuis la mi-janvier.
En comparaison, le FTSE 100 s'est légèrement mieux comporté que ses homologues européens et américains au cours de la semaine. Le STOXX 600 et le S&P 500 ont enregistré des baisses plus marquées, de 3,6 % et de plus de 4 % respectivement.
Le FTSE 250, à moyenne capitalisation, a également reculé de 1,3 % vendredi, pour atteindre une baisse de 2,8 % sur la semaine, sa plus forte baisse hebdomadaire depuis six semaines.
Le secteur de l'équipement de la personne a été particulièrement touché, chutant de 3,7 % et atteignant son niveau le plus bas depuis décembre 2009. Cette baisse a été exacerbée par une vente de 5,2 % des actions du détaillant de luxe Burberry. Dans l'ensemble, le secteur a enregistré une baisse de 8,2 % au cours de la semaine, ce qui en fait le plus mauvais élève.
Le secteur des automobiles et des pièces détachées n'était pas loin derrière, avec une baisse de 3,1 %, marquant sa perte la plus importante en un jour depuis plus d'un mois. Les mineurs de métaux industriels ont également subi une baisse de 2,7 %, influencés par la chute des prix du cuivre, un dollar plus fort et des signaux mitigés provenant des données sur l'emploi aux États-Unis, qui ont alimenté les inquiétudes concernant la croissance économique mondiale.
Le dernier rapport sur l'emploi aux États-Unis a fait état d'une augmentation moins importante que prévu du nombre d'emplois en août, le taux de chômage étant tombé à 4,2 %. Ces données suggèrent un ralentissement constant du marché du travail, ce qui semble peu susceptible d'entraîner une baisse substantielle des taux d'intérêt de la part de la Réserve fédérale au cours du mois à venir.
Selon l'outil FedWatch du CME Group, il y a 73 % de chances que la Réserve fédérale opte pour une baisse de 25 points de base lors de sa réunion de septembre.
Dans le paysage économique plus large, la Banque centrale européenne devrait réduire ses taux, tandis que la Banque d'Angleterre devrait maintenir ses taux actuels ce mois-ci.
D'autres données économiques ont mis en évidence une augmentation des prix de l'immobilier britannique au rythme annuel le plus rapide depuis la fin de l'année 2022. Un autre rapport a indiqué que le Royaume-Uni aurait besoin de mille milliards de livres d'investissements supplémentaires au cours de la prochaine décennie pour stimuler la croissance économique.
Reuters a contribué à cet article.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.