La zone euro continue de souffrir des conséquences de la guerre en Ukraine et en particulier de la sensibilité des prix de l’énergie aux aléas climatiques.
La pression s’accentue sur la BCE pour assouplir sa politique monétaire afin de freiner l’affaiblissement de la dynamique économique.
Au Japon, les signaux restent mitigés quant à la capacité de la Banque centrale à durcir sa politique monétaire.