Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé des couleurs ce jeudi matin, dans l'expectative des prises de cap imminentes de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,67%, le CAC 40 français de 0,57%, et le DAX 30 allemand de 0,70%.
Les cours demeuraient soutenus par l'absence probable d'initiatives de la part de la BCE à l'issue de sa réunion.
Les rumeurs sur le moment où la Réserve Fédérale donnera un coup de frein à ses assouplissements quantitatifs mensuels allaient toujours bon train.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Leur comité sénatorial des affaires étrangères a aussi donné hier son aval à une résolution autorisant une intervention militaire limitée, permettant ainsi de dégager la voie à un débat du sénat entier, qui devrait se prononcer sur la question à sa rentrée, le 9 septembre.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,34%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,45 et 0,74%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,75 et 1,35%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,35 et 1,46%.
Les constructeurs automobiles donnaient aux aussi un coup d'accélérateur, BMW bondissant de 4,11% et Daimler de &,15%, après qu'il ait été révélé que les ventes devraient exploser de 17% pour août dans le secteur aux Etats-Unis.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 1,02%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays amassait ainsi 0,95% et la Royal Bank of Scotland 1,74%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking se plaçaient en tête de peloton avec 1,92 et 2,52%.
Il ne fallait pas non plus négliger la compagnie aérienne Easyjet, qui s'envolait de 3,21% après avoir revendiqué 3,9% de passagers transportés supplémentaires au cours du mois dernier.
Le revendeur de matériel électronique Dixons Retail n'était pas en reste, arrachant 8,25% après avoir reçu de Mutares AG une offre de ses magasins Pixmania.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,10% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,16%.
Le gouvernement allemand comptait pour sa part faire connaître sous peu le volume des commandes passées auprès des usines, après quoi l'agence de gestion des ressources humaines ADP publiera quand à elle le nombre des créations de postes qu'elle aura mesurées aux Etats-Unis, lesquels rendront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec le niveau de l'activité nationale hors industries.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,67%, le CAC 40 français de 0,57%, et le DAX 30 allemand de 0,70%.
Les cours demeuraient soutenus par l'absence probable d'initiatives de la part de la BCE à l'issue de sa réunion.
Les rumeurs sur le moment où la Réserve Fédérale donnera un coup de frein à ses assouplissements quantitatifs mensuels allaient toujours bon train.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Leur comité sénatorial des affaires étrangères a aussi donné hier son aval à une résolution autorisant une intervention militaire limitée, permettant ainsi de dégager la voie à un débat du sénat entier, qui devrait se prononcer sur la question à sa rentrée, le 9 septembre.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,34%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,45 et 0,74%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,75 et 1,35%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,35 et 1,46%.
Les constructeurs automobiles donnaient aux aussi un coup d'accélérateur, BMW bondissant de 4,11% et Daimler de &,15%, après qu'il ait été révélé que les ventes devraient exploser de 17% pour août dans le secteur aux Etats-Unis.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 1,02%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays amassait ainsi 0,95% et la Royal Bank of Scotland 1,74%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking se plaçaient en tête de peloton avec 1,92 et 2,52%.
Il ne fallait pas non plus négliger la compagnie aérienne Easyjet, qui s'envolait de 3,21% après avoir revendiqué 3,9% de passagers transportés supplémentaires au cours du mois dernier.
Le revendeur de matériel électronique Dixons Retail n'était pas en reste, arrachant 8,25% après avoir reçu de Mutares AG une offre de ses magasins Pixmania.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,10% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,16%.
Le gouvernement allemand comptait pour sa part faire connaître sous peu le volume des commandes passées auprès des usines, après quoi l'agence de gestion des ressources humaines ADP publiera quand à elle le nombre des créations de postes qu'elle aura mesurées aux Etats-Unis, lesquels rendront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec le niveau de l'activité nationale hors industries.