Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce vendredi matin, l'atmosphère ayant été éclaircie par l'accord sur le plafond budgétaire entre les dirigeants de l'Union Européenne, bien que les commentaires de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, aient mis un frein à l'enthousiasme.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.48%, le CAC 40 français de 0.62%, et le DAX 30 allemand de 0.36%.
L'ambiance s'est donc améliorée après que les dirigeants de l'Union Européenne se soient mis d'accord sur leurs premières coupes budgétaires historiques, établissant un plafond de dépenses de 960 milliards d'euros entre 2014 et 2020, au lieu des 1.047 billions proposés auparavant, soit un peu moins que les 994 milliards actuels.
Le chef de l'autorité monétaire régionale a par contre érodé la confiance des investisseurs en estimant que la fragilité économique régionale se prolongerait en ce début d'année, mais qu'elle se dissiperait par la suite.
La finance était en forme, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement 1.33 et 1.32%, suivis plus timidement des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.55 et 0.27%.
La Bank of America avait auparavant recommandé l'acquisition des parts de la première, estimant que ses résutats devraient confirmer qu'elle dispose d'assez de fonds pour soutenir sa croissance.
Alcatel-Lucent était aussi de la fête, gagnant 1.06% après que Morgan Stanley en ait remonté son appréciation, estimant qu'il était désormais un poids lourd et non plus un poids mouche.
Mais tout nétait cependant pas rose, le constructeur automobile Peugeot, basé en France, plongeant de 1.05% après avoir avoué dévaluer les immeubles, les usines et autres bien de sa division véhicules de 3.89 milliards d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.57%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking arrachait ainsi 0.15%, et Barclays 0.78%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings les surpassaient avec 0.77 et 0.96%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste avec 0.61 et 0.79%, et les cuivriers Kazakhmys et Xstrata non plus avec 1.15 et 0.69%.
Imperial Tobacco a par contre dérapé de 1.02% après que la Berenberg Bank ait confirmé son attentisme concernant ses actions.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles d'un optimisme modéré: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.06% aussi.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le solde de leur commerce extérieur.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.48%, le CAC 40 français de 0.62%, et le DAX 30 allemand de 0.36%.
L'ambiance s'est donc améliorée après que les dirigeants de l'Union Européenne se soient mis d'accord sur leurs premières coupes budgétaires historiques, établissant un plafond de dépenses de 960 milliards d'euros entre 2014 et 2020, au lieu des 1.047 billions proposés auparavant, soit un peu moins que les 994 milliards actuels.
Le chef de l'autorité monétaire régionale a par contre érodé la confiance des investisseurs en estimant que la fragilité économique régionale se prolongerait en ce début d'année, mais qu'elle se dissiperait par la suite.
La finance était en forme, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement 1.33 et 1.32%, suivis plus timidement des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.55 et 0.27%.
La Bank of America avait auparavant recommandé l'acquisition des parts de la première, estimant que ses résutats devraient confirmer qu'elle dispose d'assez de fonds pour soutenir sa croissance.
Alcatel-Lucent était aussi de la fête, gagnant 1.06% après que Morgan Stanley en ait remonté son appréciation, estimant qu'il était désormais un poids lourd et non plus un poids mouche.
Mais tout nétait cependant pas rose, le constructeur automobile Peugeot, basé en France, plongeant de 1.05% après avoir avoué dévaluer les immeubles, les usines et autres bien de sa division véhicules de 3.89 milliards d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.57%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking arrachait ainsi 0.15%, et Barclays 0.78%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings les surpassaient avec 0.77 et 0.96%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste avec 0.61 et 0.79%, et les cuivriers Kazakhmys et Xstrata non plus avec 1.15 et 0.69%.
Imperial Tobacco a par contre dérapé de 1.02% après que la Berenberg Bank ait confirmé son attentisme concernant ses actions.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles d'un optimisme modéré: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.06% aussi.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le solde de leur commerce extérieur.