Investing.com - Les bourses européennes gardaient la forme ce mardi après-midi, dans le sillage des résultats allemands, dénotant pour ce mois-ci l'enthousiasme le plus marqué des cinq derniers.
Les yeux étaient désormais tournés vers les Etats-Unis, en raison de l'idée selon laquelle un volume important de leurs ventes au détail, qui sera dévoilé aujourd'hui, pourrait influencer les orientations futuures de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,3%, le CAC 40 français de 0,2%, et le DAX 30 allemand de 0,6%.
Le centre de recherches économiques ZEW avait auparavant fait savoir que son baromètre de la confiance dans l'économie de l'Allemagne avait gagné 5,7 points, passant ainsi de 36,3 à 42,0 pour août, au lieu des 40,0 anticipés par les experts.
L'optimisme concernant l'économie de la zone euro suivait le mouvement, depuis les 32,8 de juillet jusqu'à 44,0, un niveau jamais vu depuis avril 2010.
Il était aussi à noter que sa production industrielle avait gonflé de 0,7% en juin, une légère déception au regard des 0,8% envisagés, après le faux pas de 0,2% de mai.
Mais toute velléité de flambée deeurait jugulée, en raison de l'idée selon laquelle un volume important des ventes au détail des Etats-Unis qui seront dévoilées aujourd'hui pourraient confirmer les rumeurs persistantes d'une réduction imminente des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
A Franctfort, le fournisseur d'électricité E.ON bondissait de 3% après avoir revendiqué des profits nets courants de 1,91 milliards d'euros pour le premier semestre, au lieu des 1,79 milliards anticipés.
Le fournisseur de potasse K+S AG y dérapait par contre de 3%, subissant des rentrées inférieures aux espérances entre début mai et fin juin.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,4%, tiré vers le haut par des exploitants qui avaient le sourire.
Fresnillo, spécialiste du minerai d'argent, s'envolait de 4,6% après que l'UBS en ait recommandé l'achat, l'estimant "bien placé pour surmonter des évolution des cours incertaines".
L'assureur Resolution s'élevait de 2,9%, grâce à des bénéfices d'exploitation par action explosant de 17% au premier semestre.
Il avait auparavant été montré que les prix proposés aux particuliers du Royaume-Uni avaient augmenté de manière moins nette le mois dernier.
Le bureau britannique des statistiques a en effet constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
Les prix de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, à la volatilité prononcée, ont vu leur poussée limitée à 2% dans le même temps, au lieu des 2,3% anticipés.
L'institut royal des géomètres agréés RICS avait quand à lui révélé que les coûts des logements avaient bonnu en juillet leur envolée la plus nette en sept ans, alimentant l'angoisse d'une bulle immobilière.
Il a ajouté que son baromètre ajusté saisonnièrement du solde des prix des habitations avait bondi de 21 vers 36 pour le mois passé.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,2%.
Les yeux étaient désormais tournés vers les Etats-Unis, en raison de l'idée selon laquelle un volume important de leurs ventes au détail, qui sera dévoilé aujourd'hui, pourrait influencer les orientations futuures de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,3%, le CAC 40 français de 0,2%, et le DAX 30 allemand de 0,6%.
Le centre de recherches économiques ZEW avait auparavant fait savoir que son baromètre de la confiance dans l'économie de l'Allemagne avait gagné 5,7 points, passant ainsi de 36,3 à 42,0 pour août, au lieu des 40,0 anticipés par les experts.
L'optimisme concernant l'économie de la zone euro suivait le mouvement, depuis les 32,8 de juillet jusqu'à 44,0, un niveau jamais vu depuis avril 2010.
Il était aussi à noter que sa production industrielle avait gonflé de 0,7% en juin, une légère déception au regard des 0,8% envisagés, après le faux pas de 0,2% de mai.
Mais toute velléité de flambée deeurait jugulée, en raison de l'idée selon laquelle un volume important des ventes au détail des Etats-Unis qui seront dévoilées aujourd'hui pourraient confirmer les rumeurs persistantes d'une réduction imminente des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
A Franctfort, le fournisseur d'électricité E.ON bondissait de 3% après avoir revendiqué des profits nets courants de 1,91 milliards d'euros pour le premier semestre, au lieu des 1,79 milliards anticipés.
Le fournisseur de potasse K+S AG y dérapait par contre de 3%, subissant des rentrées inférieures aux espérances entre début mai et fin juin.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,4%, tiré vers le haut par des exploitants qui avaient le sourire.
Fresnillo, spécialiste du minerai d'argent, s'envolait de 4,6% après que l'UBS en ait recommandé l'achat, l'estimant "bien placé pour surmonter des évolution des cours incertaines".
L'assureur Resolution s'élevait de 2,9%, grâce à des bénéfices d'exploitation par action explosant de 17% au premier semestre.
Il avait auparavant été montré que les prix proposés aux particuliers du Royaume-Uni avaient augmenté de manière moins nette le mois dernier.
Le bureau britannique des statistiques a en effet constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
Les prix de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, à la volatilité prononcée, ont vu leur poussée limitée à 2% dans le même temps, au lieu des 2,3% anticipés.
L'institut royal des géomètres agréés RICS avait quand à lui révélé que les coûts des logements avaient bonnu en juillet leur envolée la plus nette en sept ans, alimentant l'angoisse d'une bulle immobilière.
Il a ajouté que son baromètre ajusté saisonnièrement du solde des prix des habitations avait bondi de 21 vers 36 pour le mois passé.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,2%.