Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi matin, les belles performances de la Chine ayant cntribué à une humeur plus enjouée.
Le reflux de l'angoisse de frappes contre la Syrie de la part des Etats-Unis a aussi contribué à alléger l'atmosphère dans la région.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,15%, le CAC 40 français de 1,2%, et le DAX 30 allemand de 1,4%.
Une étude officielle avait montré à l'aube que la production industrielle de la Chine avait dépassé les attentes le mois passé en enflant de 10,4%, dépassant ainsi les 9,9% envisagés pour prolonger les 9,7% ayant précédé.
Les bons résultats du commerce extérieur sur la même période dévoilés dimanche avaient déjà rassuré quand à la capacité du pays à se sortir de l'impasse.
Le président américain Barack Obama a quand à lui déclaré hier que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Harry Reid, chef du groupe sénatorial démocrate, a pour sa part retardé dans la soirée la scrutin sur la question de l'autorisation d'intervenir, qui était prévu pour demain.
La finance arborait une large sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 2,5%, suivie du français Société Générale avec 3,5%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,1 et 1,3%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2 et 1,4%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,75%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays raflait ainsi 1,6%, Lloyds Banking 2,9% et la Royal Bank of Scotland 4,4%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas en reste, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant respectivement 4,7 et 2,6%, alors que leur rival BHP Billiton se contentait de 1,8%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,6%.
Le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses rachats d'actifs mensuels demeurait aussi au premier plan.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
Le reflux de l'angoisse de frappes contre la Syrie de la part des Etats-Unis a aussi contribué à alléger l'atmosphère dans la région.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,15%, le CAC 40 français de 1,2%, et le DAX 30 allemand de 1,4%.
Une étude officielle avait montré à l'aube que la production industrielle de la Chine avait dépassé les attentes le mois passé en enflant de 10,4%, dépassant ainsi les 9,9% envisagés pour prolonger les 9,7% ayant précédé.
Les bons résultats du commerce extérieur sur la même période dévoilés dimanche avaient déjà rassuré quand à la capacité du pays à se sortir de l'impasse.
Le président américain Barack Obama a quand à lui déclaré hier que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Harry Reid, chef du groupe sénatorial démocrate, a pour sa part retardé dans la soirée la scrutin sur la question de l'autorisation d'intervenir, qui était prévu pour demain.
La finance arborait une large sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 2,5%, suivie du français Société Générale avec 3,5%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,1 et 1,3%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2 et 1,4%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,75%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays raflait ainsi 1,6%, Lloyds Banking 2,9% et la Royal Bank of Scotland 4,4%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas en reste, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant respectivement 4,7 et 2,6%, alors que leur rival BHP Billiton se contentait de 1,8%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,6%.
Le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses rachats d'actifs mensuels demeurait aussi au premier plan.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.