Investing.com - Les bourses européennes restaient sur la défensive ce mercredi après-midi, l'ambiance se trouvant toujours plombée par l'escalade des tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et la Syrie, et les risques d'intervention qui en découlent.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,71%, le CAC 40 français de 0,19%, et le DAX 30 allemand de 1,04%.
L'atmosphère s'était trouvée subitement assombrie hier par le vice-président américain Joe Biden, affirmant n'avoir "aucun doute" que les autorités de Damas avaient employé des armes chimiques contre la population, et qu'elles devraient être mises devant leurs responsabilités.
Les rumeurs de réduction de la voilure des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale ont d'autre part refait surface après qu'il ait été montré mardi que la confiance des particuliers des Etats-Unis avait davantage augmenté en août qu'espéré, atteignant ainsi son meilleur niveau depuis janvier 2008.
Il était d'autre part à noter que le groupe de recherches économiques Gfk avait fait savoir à l'aube que son baromètre de l'humeur des particuliers allemands avait trébuché depuis 7,0 vers 6,9 pour août, alors qu'un frémissement à 7,1 était envisagé.
La finance était plutôt en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,85%, suivie du français Société Générale avec 0,14%, dont le compatriote BNP Paribas émergeait cependant de 0,35.
La périphérie n'était pas plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,98 et 1,35%, l'italien Unicredit empochant au contraire 0,43%.
Le géant hôtelier Accor s'écroulait quand à lui de 4,05% après avoir déploré des revenus avant intérêts et impôts plongeant d'une année sur l'autre pour le premier semestre depuis 212 jusqu'à 198 millions d'euros, se situant ainsi au-dessous des projections moyennes des analystes.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,40%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté, dans l'expectative d'un discours imminent de Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Glencore Xstrata fondait de 2,65%, et Randgold Resources de 2,06%, tandis que Polymetal demeurait parmi les lanternes rouges, s'effondrant de 9,28% suite à l'aveu de 255 millions d'USD de pertes sur le premier semestre, en lieu et place des 157 millions de bénéfices de 2012.
Les poids lourds des hydrocarbures se situaient par contre encore en pointe, profitant de la poussée de cours du pétrole, BP encaissant 0,72%, Petrofac 1,09% et Tullow Oil 1,77%.
La City retrouvait l'unité dans l'adversité, la Royal Bank of Scotland se rétractant de 0,68% et Barclays de 0,72%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings se retrouvaient en queue de peloton avec 1,20 et 1,44%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,209.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,71%, le CAC 40 français de 0,19%, et le DAX 30 allemand de 1,04%.
L'atmosphère s'était trouvée subitement assombrie hier par le vice-président américain Joe Biden, affirmant n'avoir "aucun doute" que les autorités de Damas avaient employé des armes chimiques contre la population, et qu'elles devraient être mises devant leurs responsabilités.
Les rumeurs de réduction de la voilure des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale ont d'autre part refait surface après qu'il ait été montré mardi que la confiance des particuliers des Etats-Unis avait davantage augmenté en août qu'espéré, atteignant ainsi son meilleur niveau depuis janvier 2008.
Il était d'autre part à noter que le groupe de recherches économiques Gfk avait fait savoir à l'aube que son baromètre de l'humeur des particuliers allemands avait trébuché depuis 7,0 vers 6,9 pour août, alors qu'un frémissement à 7,1 était envisagé.
La finance était plutôt en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,85%, suivie du français Société Générale avec 0,14%, dont le compatriote BNP Paribas émergeait cependant de 0,35.
La périphérie n'était pas plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,98 et 1,35%, l'italien Unicredit empochant au contraire 0,43%.
Le géant hôtelier Accor s'écroulait quand à lui de 4,05% après avoir déploré des revenus avant intérêts et impôts plongeant d'une année sur l'autre pour le premier semestre depuis 212 jusqu'à 198 millions d'euros, se situant ainsi au-dessous des projections moyennes des analystes.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,40%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté, dans l'expectative d'un discours imminent de Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Glencore Xstrata fondait de 2,65%, et Randgold Resources de 2,06%, tandis que Polymetal demeurait parmi les lanternes rouges, s'effondrant de 9,28% suite à l'aveu de 255 millions d'USD de pertes sur le premier semestre, en lieu et place des 157 millions de bénéfices de 2012.
Les poids lourds des hydrocarbures se situaient par contre encore en pointe, profitant de la poussée de cours du pétrole, BP encaissant 0,72%, Petrofac 1,09% et Tullow Oil 1,77%.
La City retrouvait l'unité dans l'adversité, la Royal Bank of Scotland se rétractant de 0,68% et Barclays de 0,72%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings se retrouvaient en queue de peloton avec 1,20 et 1,44%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,209.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.