Investing.com - Les bourses européennes gardaient le sourire ce jeudi après-midi, grâce à de belles performances régionales, après que le procès-verbal de la dernière réunion du conseil de direction de l'émettrice de son adversaire ait montré que ses membres étaient toujours divisés sur le moment où elle devrait diminuer l'ampleur de ses coups de pouce.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,25%, le CAC 40 français de 1,05%, et le DAX 30 allemand de 1,07%.
Les cours ont en effet retrouvé des couleurs après que le groupe de recherches économiques Markit a ainsi annoncé en milieu de journée que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc euro était passé des 50,3 définitifs de juillet à 51,3, au lieu des 50,8 anticipés, constituant la progression la plus marquée en 26 mois.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 49,8 à 51,0, sa valeur la plus élevée en 24 mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 50,2 semblait probable.
Les baromètres correspondants de l'Allemagne bondissaient pour leur part à 52,0 et 52,4, atteignant ainsi leur plus fortes valeurs en respectivement 25 et 6 mois.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait d'autre part des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
La finance était encore plus en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 1,72%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,28 et 2,10%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,75 et 1,92%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,72 et 2,90%.
Royal Ahold, propriétaire des supermarchés Stop & Shop, s'envolait même de 4,83%, après avoir revendiqué des bénéfices d'exploitation en cours dépassant les espérances pour le second trimestre.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,83%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays grimpait de 0,65% et HSBC Holdings de 1,59%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en tête de peloton avec 2,33 et 2,42%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières suivaient le mouvement, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant respectivement 1,76 et 1,59%, leurs rivaux Evraz et Glencore Xstrata n'étant pas en reste avec 5,27 et 2,49%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,44% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,56%.
Il avait aussi été annoncé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,25%, le CAC 40 français de 1,05%, et le DAX 30 allemand de 1,07%.
Les cours ont en effet retrouvé des couleurs après que le groupe de recherches économiques Markit a ainsi annoncé en milieu de journée que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc euro était passé des 50,3 définitifs de juillet à 51,3, au lieu des 50,8 anticipés, constituant la progression la plus marquée en 26 mois.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 49,8 à 51,0, sa valeur la plus élevée en 24 mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 50,2 semblait probable.
Les baromètres correspondants de l'Allemagne bondissaient pour leur part à 52,0 et 52,4, atteignant ainsi leur plus fortes valeurs en respectivement 25 et 6 mois.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait d'autre part des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
La finance était encore plus en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 1,72%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,28 et 2,10%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,75 et 1,92%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,72 et 2,90%.
Royal Ahold, propriétaire des supermarchés Stop & Shop, s'envolait même de 4,83%, après avoir revendiqué des bénéfices d'exploitation en cours dépassant les espérances pour le second trimestre.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,83%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays grimpait de 0,65% et HSBC Holdings de 1,59%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en tête de peloton avec 2,33 et 2,42%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières suivaient le mouvement, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant respectivement 1,76 et 1,59%, leurs rivaux Evraz et Glencore Xstrata n'étant pas en reste avec 5,27 et 2,49%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,44% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,56%.
Il avait aussi été annoncé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.