Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce vendredi matin, dans l'expectative de résultats régionaux, sur fond d'angoisse d'une attaque imminente dirigée par les Etats-Unis contre la Syrie, nuisant aux valeurs dépendantes de la croissance.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,93%, le CAC 40 français de 0,84%, et le DAX 30 allemand de 0,93%.
La prudence restait aussi de mise en raison de la crainte d'une offensive d'initiative américaine contre le gouvernement de la Syrie, après que cellui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
La Maison Blanche a cependant fait savoir hier que Barack Obama déciderait de la marche à suivre en fonction des intérêts du pays dont il est le président, mais qu'il continuerait à en discuter avec la Grande-Bretagne, bien que le parlement de celle-ci se soit prononcé contre une implication militaire.
Le secteur énergétique subissait un trou d'air après son envolée précédente, Iberdrola coulant de 1,91%, alors que Repsol et le géant français Total limitaient respectivement les dégâts à 1,62 et 1,02%.
La finance était divisée, la Deutsche Bank allemande empochant 1,56%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient échapper 1,01 et 0,45%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 1,10 et 0,84%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,53 et 1,38%.
Danone s'écroulait de 1,22% après avoir prédit un essoufflement des ventes de nourriture pour nourrissons au troisième trimestre, suite aux récent scandale Fonterra.
Tout n'était cependant pas désespéré, le distributeur de produits de luxe Hermes International bondissant de 2,80% grâce à 14% de bénéfices d'exploitation supplémentaires au premier semestre, pulvérisant ainsi les espérances.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,62%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs dans la tourmente.
BP, poids lourd des hydrocarbures, plongeait de 1,09% et Petrofac de 2,74%, Anglo American sauvant les meubles avec seulement 0,33%.
Le côté minier était plus partagé, Evraz s'effondrant de 2,61 et Vedanta Resources de 1,83%, tandis que Polymetal et Randgold Resources émergeaient cependant de 2,58 et 1,48%.
La City suivait quand à elle le chemin majoritairement tracé sur le continent, Lloyds Banking dérapant de 0,70%, Barclays de 0,88%, HSBC Holdings de 1,05% et la Royal Bank of Scotland de 1,14%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois hésitntes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,02%, celles sur le S&P 500 laissant tabler sur un frémissement de 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0,03%.
Les autorités de l'Europe devraient pour leur part publier aujourd'hui des informations préliminaires portant sur l'évolution des prix à la consommation, ainsi que sur le taux de chômage.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec un rapport sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que le baromètre révisé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier le niveau des revenus et des dépenses des individus.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,93%, le CAC 40 français de 0,84%, et le DAX 30 allemand de 0,93%.
La prudence restait aussi de mise en raison de la crainte d'une offensive d'initiative américaine contre le gouvernement de la Syrie, après que cellui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
La Maison Blanche a cependant fait savoir hier que Barack Obama déciderait de la marche à suivre en fonction des intérêts du pays dont il est le président, mais qu'il continuerait à en discuter avec la Grande-Bretagne, bien que le parlement de celle-ci se soit prononcé contre une implication militaire.
Le secteur énergétique subissait un trou d'air après son envolée précédente, Iberdrola coulant de 1,91%, alors que Repsol et le géant français Total limitaient respectivement les dégâts à 1,62 et 1,02%.
La finance était divisée, la Deutsche Bank allemande empochant 1,56%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient échapper 1,01 et 0,45%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 1,10 et 0,84%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,53 et 1,38%.
Danone s'écroulait de 1,22% après avoir prédit un essoufflement des ventes de nourriture pour nourrissons au troisième trimestre, suite aux récent scandale Fonterra.
Tout n'était cependant pas désespéré, le distributeur de produits de luxe Hermes International bondissant de 2,80% grâce à 14% de bénéfices d'exploitation supplémentaires au premier semestre, pulvérisant ainsi les espérances.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,62%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs dans la tourmente.
BP, poids lourd des hydrocarbures, plongeait de 1,09% et Petrofac de 2,74%, Anglo American sauvant les meubles avec seulement 0,33%.
Le côté minier était plus partagé, Evraz s'effondrant de 2,61 et Vedanta Resources de 1,83%, tandis que Polymetal et Randgold Resources émergeaient cependant de 2,58 et 1,48%.
La City suivait quand à elle le chemin majoritairement tracé sur le continent, Lloyds Banking dérapant de 0,70%, Barclays de 0,88%, HSBC Holdings de 1,05% et la Royal Bank of Scotland de 1,14%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois hésitntes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,02%, celles sur le S&P 500 laissant tabler sur un frémissement de 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0,03%.
Les autorités de l'Europe devraient pour leur part publier aujourd'hui des informations préliminaires portant sur l'évolution des prix à la consommation, ainsi que sur le taux de chômage.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec un rapport sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que le baromètre révisé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier le niveau des revenus et des dépenses des individus.