Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce mardi matin, la prudence restant de mise à la veille de la fin des deux jours de réflexion de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,19%, le CAC 40 français de 0,18%, et le DAX 30 allemand de 0,12%.
La nervosité était palpable à l'approche des conclusions du conseil d'orientation de la banque centrale des Etats-Unis, leurs récentes contre-performances ayant contribué à semer le doute sur sa volonté de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès ce mois-ci.
Les valeurs régionales avaient plongé dans le sillage de l'abandon par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course à la succession de Ben Bernanke au poste de président de la l'autorité monétaire américaine, alors qu'il semblait davantagge susceptible d'être partisan d'une fermeture des vannes bien plus rapide que Janet Yellen, sa principale rivale.
La finance était en retrait, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,35%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,61 et 0,83%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,68 et 1,15%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,61 et 0,34%.
Air France-KLM dégringolait de 1,59% sur fond de rumeurs selon lesquelles il ses branches provinciales du sud de la France mises en place il y a à peine un an étaient sous surveillance, en raison de pertes inattendues.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,27%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings se rétractait de 0,59% et Barclays de 0,79%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se retrouvaient en lanternes rouges avec 1,61 et 1,69%.
Les autorités britanniques avaient d'autre part mis en vente ce matin pour 3,2 milliards de GBP d'actions de Lloyds Banking, faisant ainsi un pas en avant vers la privatisation totale du premier prêteur hypothécaire du Royaume-Uni.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondant respectivement de 1,98 et 1,35%, leurs concurrents Vedanta Resources et Polymetal n'étant pas à l'abri avec 3,29 et 4,04%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,07%.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait pour sa part publier aujourd'hui son baromètre économique de l'Allemagne, tandis que les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix proposés aux particuliers.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,19%, le CAC 40 français de 0,18%, et le DAX 30 allemand de 0,12%.
La nervosité était palpable à l'approche des conclusions du conseil d'orientation de la banque centrale des Etats-Unis, leurs récentes contre-performances ayant contribué à semer le doute sur sa volonté de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès ce mois-ci.
Les valeurs régionales avaient plongé dans le sillage de l'abandon par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course à la succession de Ben Bernanke au poste de président de la l'autorité monétaire américaine, alors qu'il semblait davantagge susceptible d'être partisan d'une fermeture des vannes bien plus rapide que Janet Yellen, sa principale rivale.
La finance était en retrait, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,35%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,61 et 0,83%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,68 et 1,15%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,61 et 0,34%.
Air France-KLM dégringolait de 1,59% sur fond de rumeurs selon lesquelles il ses branches provinciales du sud de la France mises en place il y a à peine un an étaient sous surveillance, en raison de pertes inattendues.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,27%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings se rétractait de 0,59% et Barclays de 0,79%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se retrouvaient en lanternes rouges avec 1,61 et 1,69%.
Les autorités britanniques avaient d'autre part mis en vente ce matin pour 3,2 milliards de GBP d'actions de Lloyds Banking, faisant ainsi un pas en avant vers la privatisation totale du premier prêteur hypothécaire du Royaume-Uni.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondant respectivement de 1,98 et 1,35%, leurs concurrents Vedanta Resources et Polymetal n'étant pas à l'abri avec 3,29 et 4,04%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,07%.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait pour sa part publier aujourd'hui son baromètre économique de l'Allemagne, tandis que les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix proposés aux particuliers.