Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce vendredi matin, sur fond de tensions politiques italiennes, dans l'ombre des incertitudes budgétaires des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,02%, le CAC 40 français de 0,11%, et le DAX 30 allemand de 0,09%.
A Rome, le premier ministre Enrico Letta a déclaré vouloir évoquer aujourd'hui avec le président Napolitano les menaces de démission brandies par les élus du parti de centre droit de Silvio Berlusconi en cas d'exclusion de ce dernier suite à sa condamnation pour fraude fiscale.
Les angoisses liées au problème du budget fédéral ont aussi ressurgi après que le groupe des députés républicains ait refusé dans le même temps d'accéder aux demandes du président Obama, réclamant sans détour de quoi faire tourner l'administration au-delà du 30 septembre, et d'augmenter le pouvoir d'emprunt de l'exécutif afin d'éviter les défauts de paiement.
Un accord à ce sujet doit en effet être trouvé avant le premier octobre, afin d'éviter une paralysie qui pourrait entraîner les congés sans solde des fonctionnaires et des retards dans les paiements des membres de l'armée.
La finance était cependant partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,18%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,06 et 0,23%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se rétractant de 0,01 et 0,19%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,31%.
L'agence de presse Bloomberg a pour sa part fait savoir qu'en raison de déficits en hausse et d'une trésorerie se réduisant comme peau de chagrin, le conseil d'administration d'Alitalia se trouvait contraint de lever au moins 100 millions d'euros de fonds.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,26%, tiré vers le bas par une Royal Bank of Scotland s'effondrant de 2,50%.
Le reste de la City était plus nuancé, Barclays glissant de 0,79%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings émergeaient respectivement de 0,0è et 0,23%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières cherchaient aussi leur chemin, les mastodontes miniers Polymetal et Glencore Xstrata amassant 1,91 et 0,08%, alors que leurs rivaux BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,85 et 0,97%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,02%.
Il était aussi à noter que les dépenses des ménages français avaient subi une érosion de 0,4% en août, alors qu'un sursaut de 0,1% était envisagé après celui de 0,4% ayant précédé.
L'Allemagne comptait quand à elle faitre connaître aujourd'hui l'évolution de ses prix à la consommation, , après quoi les Etats-Unis achèveront enfin la semaine avec les chiffres révisés de l'université du Michigan portant sur l'humeur des ménages et l'inflation attendue, ainsi que d'autres concernant les revenus et les dépenses des individus.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,02%, le CAC 40 français de 0,11%, et le DAX 30 allemand de 0,09%.
A Rome, le premier ministre Enrico Letta a déclaré vouloir évoquer aujourd'hui avec le président Napolitano les menaces de démission brandies par les élus du parti de centre droit de Silvio Berlusconi en cas d'exclusion de ce dernier suite à sa condamnation pour fraude fiscale.
Les angoisses liées au problème du budget fédéral ont aussi ressurgi après que le groupe des députés républicains ait refusé dans le même temps d'accéder aux demandes du président Obama, réclamant sans détour de quoi faire tourner l'administration au-delà du 30 septembre, et d'augmenter le pouvoir d'emprunt de l'exécutif afin d'éviter les défauts de paiement.
Un accord à ce sujet doit en effet être trouvé avant le premier octobre, afin d'éviter une paralysie qui pourrait entraîner les congés sans solde des fonctionnaires et des retards dans les paiements des membres de l'armée.
La finance était cependant partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,18%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,06 et 0,23%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se rétractant de 0,01 et 0,19%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,31%.
L'agence de presse Bloomberg a pour sa part fait savoir qu'en raison de déficits en hausse et d'une trésorerie se réduisant comme peau de chagrin, le conseil d'administration d'Alitalia se trouvait contraint de lever au moins 100 millions d'euros de fonds.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,26%, tiré vers le bas par une Royal Bank of Scotland s'effondrant de 2,50%.
Le reste de la City était plus nuancé, Barclays glissant de 0,79%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings émergeaient respectivement de 0,0è et 0,23%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières cherchaient aussi leur chemin, les mastodontes miniers Polymetal et Glencore Xstrata amassant 1,91 et 0,08%, alors que leurs rivaux BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,85 et 0,97%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,02%.
Il était aussi à noter que les dépenses des ménages français avaient subi une érosion de 0,4% en août, alors qu'un sursaut de 0,1% était envisagé après celui de 0,4% ayant précédé.
L'Allemagne comptait quand à elle faitre connaître aujourd'hui l'évolution de ses prix à la consommation, , après quoi les Etats-Unis achèveront enfin la semaine avec les chiffres révisés de l'université du Michigan portant sur l'humeur des ménages et l'inflation attendue, ainsi que d'autres concernant les revenus et les dépenses des individus.