Investing.com - Les bourses européennes restaient en difficulté ce mercredi, la prudence restant de mise dans l'expectative de la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, sur fond d'incertitudes persistantes sur le moment où elle diminuera l'ampleur de ses coups de pouce.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,39%, mais le CAC 40 français arrachait 0,22%, et le DAX 30 allemand trébuchait de 0,03%.
Les observateurs guettaient en effet pour cet après-midi la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient nettement enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
Son président Ben Bernanke avait ainsi déclaré que cette hypothèse pourrait se matérialiser en fonction des performances de l'économie.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,46%, et le français Société Générale 0,34, son compatriote BNP Paribas empochant 0,28%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant respectivement de 0,72 et 0,64%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,03 et 1,32%.
Heineken, troisième brasseur au monde, coulait de 3,08%, blâmant le mauvais temps printanier subi par l'Europe pour le coup de frein que devraient subir ses revenus annuels.
Son concurrent Carlsberg redressait par contre la barre de 1,51%, après avoir subi un passage à vide suite à des bénéfices inférieurs aux espérances pour le second trimestre, et à la révision vers le bas de ses projections annuelles concernant le marché russe.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,56%, bien que les commandes industrielles aient caracolé à leur plus haut niveau annuel en août, laissant entrevoir des perspectives économiques positives.
La City campait sur la défensive, Barclays glissant ainsi de 0,90%, la Royal Bank of Scotland de 0,92% et HSBC Holdings de 2,74%, tandis que Lloyds Banking émergeait toutefois de 1,37%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières continuaient majoritairement à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Fresnillo fondant respectivement de 2,26 et 2,45%, leur concurrent Glencore Xstrata raflant par contre 1,27%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,29% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,34%.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,39%, mais le CAC 40 français arrachait 0,22%, et le DAX 30 allemand trébuchait de 0,03%.
Les observateurs guettaient en effet pour cet après-midi la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient nettement enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
Son président Ben Bernanke avait ainsi déclaré que cette hypothèse pourrait se matérialiser en fonction des performances de l'économie.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,46%, et le français Société Générale 0,34, son compatriote BNP Paribas empochant 0,28%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant respectivement de 0,72 et 0,64%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,03 et 1,32%.
Heineken, troisième brasseur au monde, coulait de 3,08%, blâmant le mauvais temps printanier subi par l'Europe pour le coup de frein que devraient subir ses revenus annuels.
Son concurrent Carlsberg redressait par contre la barre de 1,51%, après avoir subi un passage à vide suite à des bénéfices inférieurs aux espérances pour le second trimestre, et à la révision vers le bas de ses projections annuelles concernant le marché russe.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,56%, bien que les commandes industrielles aient caracolé à leur plus haut niveau annuel en août, laissant entrevoir des perspectives économiques positives.
La City campait sur la défensive, Barclays glissant ainsi de 0,90%, la Royal Bank of Scotland de 0,92% et HSBC Holdings de 2,74%, tandis que Lloyds Banking émergeait toutefois de 1,37%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières continuaient majoritairement à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Fresnillo fondant respectivement de 2,26 et 2,45%, leur concurrent Glencore Xstrata raflant par contre 1,27%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,29% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,34%.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.