Investing.com - Les bourses européennes cherchaient encore leur chemin ce mercredi après-midi, le conflit syrien demeurant au centre des débats, malgré le reflux de l'angoisse de frappes de la part des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,25%, mais le CAC 40 français se rétractait de 0,03%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0,53%.
Le président américain Barack Obama a en effet déclaré hier à la télévision nationale avoir demandé au parlement de repousser le vote sur une éventuelle intervention militaire, le temps d'étudier la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous surveillance internationale.
L'espoir concernant la relance chinoise continuait aussi à améliorer l'ambiance, les bons résultats des ventes, des industries et du commerce extérieur ayant rassuré ceux qui doutaient de la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse.
La finance restait partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,91%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 0,26 et 0,63%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,35 et 0,42%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,43 et 2,45%.
Le sidérurgiste SSAB s'effondrait pour sa part de 1,70% après que Martin Pei, à la tête de sa branche asiatique, ait déploré que ses plus gros clients chinois aient "pratiquement cessé d'acheter" ses produits, en raison de la surproduction et du ralentissement de l'économie.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,13%, bien que la proportion des demandeurs d'emploi du Royaume-Uni ait connu une érosion depuis 7,8 vers 7,7% en juillet.
La City suivait quand à elle le chemin hésitant tracé sur le continent, Lloyds Banking et HSBC Holdings jouant les lanternes rouges avec des faux pas de 2,43 et 1,08%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays émergeaient de 0,32 et 0,52%.
Les magasins de bricolage Kingfisher n'étaient pas mieux lotis, avec un dérapage de 2,10%, après avoir vu ses bénéfices ajustés avant impôt subir une érosion de 1,6% pour un total de 365 millions de GBP au premier semestre, au lieu des 367 millions envisagés.
Tout n'était cependant pas désespéré, ARM Holdings, qui met notamment au point les microprocesseurs des iPhones d'Apple, se plaçait en tête de peloton, engrangeant 4,25% après que ce dernier ait présenté la mise sur le marché de deux nouveaux modèles, dont un sera proposé à 99 USD et dans des couleurs vives, afin d'attirer des clients moins dépensiers.
Les perspectives des marchés américains partageaient le léger pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,21%.
José Manuel Barroso, président de la Commission Européenne, a pour sa part déclaré ce matin que la reprise était en vue, et renouvelé son appel à la mise en place de réformes bancaires, avec un "système de régulation unifié" avant tout.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,25%, mais le CAC 40 français se rétractait de 0,03%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0,53%.
Le président américain Barack Obama a en effet déclaré hier à la télévision nationale avoir demandé au parlement de repousser le vote sur une éventuelle intervention militaire, le temps d'étudier la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous surveillance internationale.
L'espoir concernant la relance chinoise continuait aussi à améliorer l'ambiance, les bons résultats des ventes, des industries et du commerce extérieur ayant rassuré ceux qui doutaient de la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse.
La finance restait partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,91%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 0,26 et 0,63%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,35 et 0,42%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,43 et 2,45%.
Le sidérurgiste SSAB s'effondrait pour sa part de 1,70% après que Martin Pei, à la tête de sa branche asiatique, ait déploré que ses plus gros clients chinois aient "pratiquement cessé d'acheter" ses produits, en raison de la surproduction et du ralentissement de l'économie.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,13%, bien que la proportion des demandeurs d'emploi du Royaume-Uni ait connu une érosion depuis 7,8 vers 7,7% en juillet.
La City suivait quand à elle le chemin hésitant tracé sur le continent, Lloyds Banking et HSBC Holdings jouant les lanternes rouges avec des faux pas de 2,43 et 1,08%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays émergeaient de 0,32 et 0,52%.
Les magasins de bricolage Kingfisher n'étaient pas mieux lotis, avec un dérapage de 2,10%, après avoir vu ses bénéfices ajustés avant impôt subir une érosion de 1,6% pour un total de 365 millions de GBP au premier semestre, au lieu des 367 millions envisagés.
Tout n'était cependant pas désespéré, ARM Holdings, qui met notamment au point les microprocesseurs des iPhones d'Apple, se plaçait en tête de peloton, engrangeant 4,25% après que ce dernier ait présenté la mise sur le marché de deux nouveaux modèles, dont un sera proposé à 99 USD et dans des couleurs vives, afin d'attirer des clients moins dépensiers.
Les perspectives des marchés américains partageaient le léger pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,21%.
José Manuel Barroso, président de la Commission Européenne, a pour sa part déclaré ce matin que la reprise était en vue, et renouvelé son appel à la mise en place de réformes bancaires, avec un "système de régulation unifié" avant tout.