Investing.com - Les bourses européennes oscillaient entre légers gains et pertes minimes ce jeudi après-midi, les négociations visant à dissiper l'ombre de la catastrophe budgétaire planant sur les Etats-Unis dictant l'humeur ambiante.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.1%, le CAC 40 français de 0.1% aussi, et le DAX 30 allemand de 0.1% également.
Le moral se trouvait en effet affecté par des doutes grandissants concernant un éventuel accord permettant d'éviter le mur fiscal américain avant la date fatidique du premier janvier, laissant redouter la conjugaison de la fin de réductions d'impôts et l'activation de coupes draconiennes dans les dépenses.
Un porte-parole du président Barack Obama a déclaré hier que la Maison Blanche opposerait son veto à la proposition de budget présentée par John Boehner, à la tête de la chambre des députés.
En l'absence d'un terrain d'entente, le pays risquerait du coup de retourner en récession et d'entraîner le reste du monde dans sa chute.
L'UBS helvète était en berne, se rétractant de 1.1% après que l'autorité monétaire de Hong Kong ait lancé une enquête une enquête visant à déterminer si elle aurait fourni des informations frauduleuses ayant servi à déterminer le taux interbancaire de l'ancienne enclave.
Elle avait déjà été condamnée à payer une amende de 1.5 milliards d'USD en début de semaine afin d'échapper aux poursuites des gendarmes financiers américains et britanniques suite à ses manipulations du LIBOR.
Le fabricant suédois de téléphones Ericsson a pour sa part cédé 2.6% après avoir avoué devoir subir au quatrième trimestre des pertes de 1.2 milliards d'USD relatives à son incursion dans le domaine des puces pour transmissions sans fil en compagnie de STMicroelectronics, basé en France.
A Londres, le FTSE 100 a légèrement redressé la tête, grâce à la forme de ses exploitants et de ses fabricants de cigarettes.
British American Tobacco engrangeait 1.1% après que la banque d'affaires Nomura en ait remonté les objectifs de cours depuis 35.06 vers 38.8 GBP, inoquant un fort potentiel de développement durable de ses produits en 2013.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas à négliger, avec respectivement 0.7 et 0.8%.
Des chiffres officiels aient révélé que les ventes au détail britanniques avaient stagné le mois dernier, alors qu'un frémissement de 0.3% était espéré.
Les perspectives des marchés américains étaient faisaient preuve d'un optimisme modeste, en attendant une avalanche de performances et que la situation politique se décante.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant aussi à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que leur croissance révisée du troisième trimestre et un rapport que l'activité manufacturière de la région de Philadelphie, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier diffuseront leurs chiffres portant sur les ventes de logements d'occasion.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.1%, le CAC 40 français de 0.1% aussi, et le DAX 30 allemand de 0.1% également.
Le moral se trouvait en effet affecté par des doutes grandissants concernant un éventuel accord permettant d'éviter le mur fiscal américain avant la date fatidique du premier janvier, laissant redouter la conjugaison de la fin de réductions d'impôts et l'activation de coupes draconiennes dans les dépenses.
Un porte-parole du président Barack Obama a déclaré hier que la Maison Blanche opposerait son veto à la proposition de budget présentée par John Boehner, à la tête de la chambre des députés.
En l'absence d'un terrain d'entente, le pays risquerait du coup de retourner en récession et d'entraîner le reste du monde dans sa chute.
L'UBS helvète était en berne, se rétractant de 1.1% après que l'autorité monétaire de Hong Kong ait lancé une enquête une enquête visant à déterminer si elle aurait fourni des informations frauduleuses ayant servi à déterminer le taux interbancaire de l'ancienne enclave.
Elle avait déjà été condamnée à payer une amende de 1.5 milliards d'USD en début de semaine afin d'échapper aux poursuites des gendarmes financiers américains et britanniques suite à ses manipulations du LIBOR.
Le fabricant suédois de téléphones Ericsson a pour sa part cédé 2.6% après avoir avoué devoir subir au quatrième trimestre des pertes de 1.2 milliards d'USD relatives à son incursion dans le domaine des puces pour transmissions sans fil en compagnie de STMicroelectronics, basé en France.
A Londres, le FTSE 100 a légèrement redressé la tête, grâce à la forme de ses exploitants et de ses fabricants de cigarettes.
British American Tobacco engrangeait 1.1% après que la banque d'affaires Nomura en ait remonté les objectifs de cours depuis 35.06 vers 38.8 GBP, inoquant un fort potentiel de développement durable de ses produits en 2013.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas à négliger, avec respectivement 0.7 et 0.8%.
Des chiffres officiels aient révélé que les ventes au détail britanniques avaient stagné le mois dernier, alors qu'un frémissement de 0.3% était espéré.
Les perspectives des marchés américains étaient faisaient preuve d'un optimisme modeste, en attendant une avalanche de performances et que la situation politique se décante.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant aussi à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que leur croissance révisée du troisième trimestre et un rapport que l'activité manufacturière de la région de Philadelphie, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier diffuseront leurs chiffres portant sur les ventes de logements d'occasion.