Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce lundi matin, les yeux sur l'humeur des acteurs des marchés, sur fond de spectre persistant d'une attaque des Etats-Unis contre la Syrie.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,14%, le CAC 40 français de 0,31%, et le DAX 30 allemand de 0,15%.
Le chef de l'état syrien Bachar el-Assad n'a pas réussi à dissiper les angoisses, bien qu'il ait assuré en fin de semaine n'avoir en aucune façon autorisé l'emploi d'armes chimiques contre la population.
Cette intervention survenait alors que le parlement américain devrait se prononcer sous peu au sujet de la proposition de tir de missiles émise par le président Barack Obama.
Mais les bourses gardaient espoir, après que les beaux résultats du commerce extérieur de la Chine dévoilés hier aient rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir d'un passage à vide, les exportations nationales enflant de 7,2% d'une année sur l'autre en août, au lieu des 5,1% précédents, et les importations de 7%.
Il était d'autre part à noter que les prix à la consommation y avaient augmenté sans surprise de 2,6% dans le même temps.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,83%, suivie du français Société Générale avec 0,63%, dont le compatriote BNP Paribas laissait échapper 0,47%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant respectivement de 0,76 et 0,79%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissaient 0,91 et 1,83%.
L'opérateur téléphonique néerlandais Royal KPN trébuchait de 0,18%, suite à la proposition de prise de contrôle d'America Movil, et à l'annonce de la démission de son directeur financier Eric Hageman pour raisons personnelles.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,21%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne n'étant guère moins mitigés que leurs homologues continentaux.
La City gardait cependant majoritairement la corde, la Royal Bank of Scotland arrachant 0,25%, Barclays 0,32% et Lloyds Banking 0,65%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient également partagées, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,64 et 0,76%, Eurasian Natural Resources n'étant pas en reste avec 1,37%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,40%.
Les yeux étaient désormais tournés vers les informations portant sur la confiance des investisseurs dans la zone euro.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,14%, le CAC 40 français de 0,31%, et le DAX 30 allemand de 0,15%.
Le chef de l'état syrien Bachar el-Assad n'a pas réussi à dissiper les angoisses, bien qu'il ait assuré en fin de semaine n'avoir en aucune façon autorisé l'emploi d'armes chimiques contre la population.
Cette intervention survenait alors que le parlement américain devrait se prononcer sous peu au sujet de la proposition de tir de missiles émise par le président Barack Obama.
Mais les bourses gardaient espoir, après que les beaux résultats du commerce extérieur de la Chine dévoilés hier aient rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir d'un passage à vide, les exportations nationales enflant de 7,2% d'une année sur l'autre en août, au lieu des 5,1% précédents, et les importations de 7%.
Il était d'autre part à noter que les prix à la consommation y avaient augmenté sans surprise de 2,6% dans le même temps.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,83%, suivie du français Société Générale avec 0,63%, dont le compatriote BNP Paribas laissait échapper 0,47%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant respectivement de 0,76 et 0,79%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissaient 0,91 et 1,83%.
L'opérateur téléphonique néerlandais Royal KPN trébuchait de 0,18%, suite à la proposition de prise de contrôle d'America Movil, et à l'annonce de la démission de son directeur financier Eric Hageman pour raisons personnelles.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,21%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne n'étant guère moins mitigés que leurs homologues continentaux.
La City gardait cependant majoritairement la corde, la Royal Bank of Scotland arrachant 0,25%, Barclays 0,32% et Lloyds Banking 0,65%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient également partagées, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,64 et 0,76%, Eurasian Natural Resources n'étant pas en reste avec 1,37%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,40%.
Les yeux étaient désormais tournés vers les informations portant sur la confiance des investisseurs dans la zone euro.