Investing.com - Les bourses européennes étaient en retrait ce jeudi matin, alors que la prudence restant de mise sur fond d'incertitudes sur les orientations de la banque centrale des Etats-Unis, et sur leur budget.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,03%, le CAC 40 français de 0,20%, et le DAX 30 allemand de 0,12%.
Les observateurs guettaient désormais les chiffres définitifs du produit intérieur brut américain du second trimestre, après qu'une série de résultats économiques aient récemment ravivé les craintes au sujet de la relance.
Une croissance supérieure aux attentes aurait toutes les chances de ranimer le spectre d'une réduction des injections de la Réserve Fédérale avant la fin de l'année.
Elle avait en effet déclaré la semaine passée qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap.
Les problèmes budgétaires étaient de nouveau au premier plan après que les dirigeants républicains de la chambre des députés aient annoncés aux membres de leur groupe qu'un vote sur le plafond d'endettement fédéral pourrait se dérouler dès demain.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissait échapper 1,06%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,64 et 0,25%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,18 et 0,36%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,08 et 0,68%.
Le modiste Hennes & Mauritz bondissait par contre de 6,82% après avoir dépassé les bénéfices trimestriels prévus pour le première fois de l'année fiscale, profitant de l'ouverture de boutiques électroniques aux Etats-Unis et du lancement de nouvelles marques.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,02%, tiré vers le bas par des assureurs en difficulté.
Old Mutual et RSA Insurance s'écroulaient de 1,85 et 1,81%, après que Lloyd’s of London, leur plus vieux collègue au monde, ait déploré un effondrement de 9,8% de ses profits au premier semestre, plombé par le manque de rentabilité de ses investissements.
Tout n'était cependant pas désespéré, les mastodontes Anglo American et BHP Billiton grignotant 0,03 et 0,35%, dépassés par leur rival Evraz avec 1,73%.
La City était plus mitigée, Barclays reculant de 0,81% et HSBC Holdings de 0,33%, tandis que la Royal Bank of Scotland arrachait 0,23% et Lloyds Banking 0,43%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,51%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le nombre des ventes de logements en cours.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,03%, le CAC 40 français de 0,20%, et le DAX 30 allemand de 0,12%.
Les observateurs guettaient désormais les chiffres définitifs du produit intérieur brut américain du second trimestre, après qu'une série de résultats économiques aient récemment ravivé les craintes au sujet de la relance.
Une croissance supérieure aux attentes aurait toutes les chances de ranimer le spectre d'une réduction des injections de la Réserve Fédérale avant la fin de l'année.
Elle avait en effet déclaré la semaine passée qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap.
Les problèmes budgétaires étaient de nouveau au premier plan après que les dirigeants républicains de la chambre des députés aient annoncés aux membres de leur groupe qu'un vote sur le plafond d'endettement fédéral pourrait se dérouler dès demain.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissait échapper 1,06%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,64 et 0,25%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,18 et 0,36%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,08 et 0,68%.
Le modiste Hennes & Mauritz bondissait par contre de 6,82% après avoir dépassé les bénéfices trimestriels prévus pour le première fois de l'année fiscale, profitant de l'ouverture de boutiques électroniques aux Etats-Unis et du lancement de nouvelles marques.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,02%, tiré vers le bas par des assureurs en difficulté.
Old Mutual et RSA Insurance s'écroulaient de 1,85 et 1,81%, après que Lloyd’s of London, leur plus vieux collègue au monde, ait déploré un effondrement de 9,8% de ses profits au premier semestre, plombé par le manque de rentabilité de ses investissements.
Tout n'était cependant pas désespéré, les mastodontes Anglo American et BHP Billiton grignotant 0,03 et 0,35%, dépassés par leur rival Evraz avec 1,73%.
La City était plus mitigée, Barclays reculant de 0,81% et HSBC Holdings de 0,33%, tandis que la Royal Bank of Scotland arrachait 0,23% et Lloyds Banking 0,43%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,51%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le nombre des ventes de logements en cours.